Orelsan Bien sûr, et je pense même que je rapperais ça, les gens seront contents et crieront. Ils ont du recul, ils savent que c'est de la fiction, c'est le morceau d'un mec qui se suicide et
Accueil / 6 - Compilations chansons enfants / Au fil des saisons CD de compilation – A et J-M Versini 13,00€ 15 chansons sur le thème des saisons, de la nature, du temps qui passe… – De 2 à 8 ans Ce charmant CD de compilation ravira petits et grands par sa poésie, sa fraîcheur et sa musicalité. Les quatre saisons se déroulent gaiement toutes aussi belles les unes que les autres. Printemps, été, automne, hiver… un patchwork d’impressions et de sensations pour vivre intensément le fil du temps. Soleil, parasols et parapluies, papillons et fleurs des champs, arc-en-ciel ou manège des flocons de neige… la magie de la nature exhale avec finesse et émotion. De janvier à décembre, du tic tac de l’horloge à la pendule de grand mère, le temps file, le temps passe, mais toujours aussi changeant, toujours aussi nouveau. Titres du CD 1. Printemps est arrivé – 2. Les papillons et les fleurs – 3. Voici l’été – 4. Un bel arc-en-ciel – 5. Le petit printemps – 6. C’est le manège – 7. Tic tac tic tac – 8. Douze mois dans l’année – 9. Parasols et parapluies – 10. Raconte-moi les saisons – 11. Coucou – 12. La valse des saisons – 13. Janvier, février – 14. La pendule de grand-mère – 15. Le nouveau printemps Livret 20 pages avec paroles des chansons et commentaires pédagogiques – Playbacks inclus Télécharger le CD complet €9,99 ou un titre €0,99 Achat du CD physique Paiement par carte bancaire, chèque ou virement Extraits Téléchargement MP3 Paroles Partitions
Commeon parle de son actualité sur son ancien album, j'en crée un nouveau. L'album "les grands espaces porté par la chanson "fin octobre, début novembre" sortira le 14/11/11.
Letras Kore, Alonz', yeah Mamé Au quartier c'est la merde, oui viens on s'fait la malle Au calme en bord de mer, qu'on kiffe la life Ici tu connais, y a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Au quartier c'est la merde, oui viens on s'fait la malle Au calme en bord de mer, qu'on kiffe la life Ici tu connais, y a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Pattaya on arrive T'es pas prêt, tu connais pas l'délire À la cité tout part à la dérive Tu ressens la sère-mi sur la tête à Karim Changement de décor, on se casse à l'aéroport Vas-y prends seulement ton passeport On va fuck, on va fuck, on va fuck À peine arrivé je veux plus rentrer à la maison J'parle français, anglais ou thaïlandais c'est avec l'accent Tout est contrefaçon, on s'en bats les couilles 'toute façon Loin de tous mes ennemis Tu peux pas comprendre car tu connais pas nos vies Au quartier c'est la merde, oui viens on s'fait la malle Au calme en bord de mer, qu'on kiffe la life Ici tu connais, y a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Au quartier c'est la merde, oui viens on s'fait la malle Au calme en bord de mer, qu'on kiffe la life Ici tu connais, y a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Ouais ouais ouais on connaît T'as ken un ladyboy on t'a cramé Le dancefloor est rempli de Belvés Si t'es jaloux c'est peut-être que tu me remets Bébé j'suis le meilleur Tu trouveras pas mieux ailleurs Si tu me mets de mauvais humeur Je te plaque, je te plaque, je te plaque C'est le paradis des cailles-ra, 12 heures d'avion Rien à foutre j'ai les poches pleines de bahts Je dépense, j'suis le patron On se donne en spectacle T-max noir mâte, pas d'plaque On s'défoule au centre de tirs Tu peux pas comprendre car tu connais pas nos vies Au quartier c'est la merde, oui viens on s'fait la malle Au calme en bord de mer, qu'on kiffe la life Ici tu connais, y a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Au quartier c'est la merde, oui viens on s'fait la malle Au calme en bord de mer, qu'on kiffe la life Ici tu connais, y a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Pattaya, ouais ouais Pattaya, Pattaya Pattaya, ouais ouais Pattaya, Pattaya Pattaya, ouais ouais Pattaya, Pattaya Au quartier c'est la merde, oui viens on s'fait la malle Au calme en bord de mer, qu'on kiffe la life Ici tu connais, y a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Pattaya! Aurélien Mazin, Djamel Fezari, Kassimou Djae, Quentin Lepoutre SONY ATV MUSIC PUBLISHING FRANCE, Sony/ATV Music Publishing LLC
AvecRétro Match, suivez l’actualité à travers les archives de Paris Match. Elise Ventre, comédienne et ancienne épouse de Guillaume Depardieu, s’est éteinte. La triste nouvelle a été Auteur du conte Hans Christian Andersen L'histoire du conte La petite sirèneAu large dans la mer, l'eau est bleue comme les pétales du plus beau bleuet et transparente comme le plus pur cristal; mais elle est si profonde qu'on ne peut y jeter l'ancre et qu'il faudrait mettre l'une sur l'autre bien des tours d'église pour que la dernière émerge à la surface. Tout en bas, les habitants des ondes ont leur demeure. Mais n'allez pas croire qu'il n'y a là que des fonds de sable nu blanc, non il y pousse les arbres et les plantes les plus étranges dont les tiges et les feuilles sont si souples qu'elles ondulent au moindre mouvement de l'eau. On dirait qu'elles sont vivantes. Tous les poissons, grands et petits, glissent dans les branches comme ici les oiseaux dans l'air. A l'endroit le plus profond s'élève le château du Roi de la Mer. Les murs en sont de corail et les hautes fenêtres pointues sont faites de l'ambre le plus transparent, mais le toit est en coquillages qui se ferment ou s'ouvrent au passage des courants. L'effet en est féerique car dans chaque coquillage il y a des perles brillantes dont une seule serait un ornement splendide sur la couronne d'une Roi de la Mer était veuf depuis de longues années, sa vieille maman tenait sa maison. C'était une femme d'esprit, mais fière de sa noblesse; elle portait douze huîtres à sa queue, les autres dames de qualité n'ayant droit qu'à six. Elle méritait du reste de grands éloges et cela surtout parce qu'elle aimait infiniment les petites princesses de la mer, filles de son fils. Elles étaient six enfants charmantes, mais la plus jeune était la plus belle de toutes, la peau fine et transparente tel un pétale de rose blanche, les yeux bleus comme l'océan profond ... mais comme toutes les autres, elle n'avait pas de pieds, son corps se terminait en queue de château était entouré d'un grand jardin aux arbres rouges et bleu sombre, aux fruits rayonnants comme de l'or, les fleurs semblaient de feu, car leurs tiges et leurs pétales pourpres ondulaient comme des flammes. Le sol était fait du sable le plus fin, mais bleu comme le soufre en flammes. Surtout cela planait une étrange lueur bleuâtre, on se serait cru très haut dans l'azur avec le ciel au-dessus et en dessous de soi, plutôt qu'au fond de la temps très calme, on apercevait le soleil comme une fleur de pourpre, dont la corolle irradiait des faisceaux de lumière. Chaque princesse avait son carré de jardin où elle pouvait bêcher et planter à son gré, l'une donnait à sa corbeille de fleurs la forme d'une baleine, l'autre préférait qu'elle figurât une sirène, mais la plus jeune fit la sienne toute ronde comme le soleil et n'y planta que des fleurs éclatantes comme une singulière enfant, silencieuse et réfléchie. Tandis que ses sœurs ornaient leurs jardinets des objets les plus disparates tombés de navires naufragés, elle ne voulut, en dehors des fleurs rouges comme le soleil de là- haut, qu'une statuette de marbre, un charmant jeune garçon taillé dans une pierre d'une blancheur pure, et échouée, par suite d'un naufrage, au fond de la mer. Elle planta près de la statue un saule pleureur rouge qui grandit à merveille. Elle n'avait pas de plus grande joie que d'entendre parler du monde des humains. La grand-mère devait raconter tout ce qu'elle savait des bateaux et des villes, des hommes et des bêtes et, ce qui l'étonnait le plus, c'est que là- haut, sur la terre, les fleurs eussent un parfum, ce qu'elles n'avaient pas au fond de la mer, et que la forêt y fût verte et que les poissons voltigeant dans les branches chantassent si délicieusement que c'en était un plaisir. C'étaient les oiseaux que la grand-mère appelait poissons, autrement les petites filles ne l'auraient pas comprise, n'ayant jamais vu d' Quand vous aurez vos quinze ans, dit la grand-mère, vous aurez la permission de monter à la surface, de vous asseoir au clair de lune sur les rochers et de voir passer les grands vaisseaux qui naviguent et vous verrez les forêts et les villes, vous verrez ! Au cours de l'année, l'une des sœurs eut quinze ans et comme elles se suivaient toutes à un an de distance, la plus jeune devait attendre cinq grandes années avant de pouvoir monter du fond de la mer. Mais chacune promettait aux plus jeunes de leur raconter ce qu'elle avait vu de plus beau dès le premier jour, grand-mère n'en disait jamais assez à leur gré, elles voulaient savoir tant de choses ! Aucune n'était plus impatiente que la plus jeune, justement celle qui avait le plus longtemps à attendre, la silencieuse, la pensive ... Que de nuits elle passait debout à la fenêtre ouverte, scrutant la sombre eau bleue que les poissons battaient de leurs nageoires et de leur queue. Elle apercevait la lune et les étoiles plus pâles il est vrai à travers l'eau, mais plus grandes aussi qu'à nos yeux. Si parfois un nuage noir glissait au-dessous d'elles, la petite savait que c'était une baleine qui nageait dans la mer, ou encore un navire portant de nombreux hommes, lesquels ne pensaient sûrement pas qu'une adorable petite sirène, là, tout en bas, tendait ses fines mains blanches vers la quille du le temps où l'aînée des princesses eut quinze ans et put monter à la surface de la mer. A son retour, elle avait mille choses à raconter mais le plus grand plaisir, disait-elle, était de s'étendre au clair de lune sur un banc de sable par une mer calme et de voir, tout près de la côte, la grande ville aux lumières scintillantes comme des centaines d'étoiles, d'entendre la musique et tout ce vacarme des voitures et des gens, d'apercevoir tant de tours d'églises et de clochers, d'entendre sonner les cloches. Justement, parce qu'elle ne pouvait y aller, c'était de cela qu'elle avait le plus grand désir. Oh! comme la plus jeune sœur l'écoutait passionnément, et depuis lors, le soir, lorsqu'elle se tenait près de la fenêtre ouverte et regardait en haut à travers l'eau sombre et bleue, elle pensait à la grande ville et à ses rumeurs, et il lui semblait entendre le son des cloches descendant jusqu'à elle. L'année suivante, ce fut le tour de la troisième sœur. Elle était la plus hardie de toutes, aussi remonta-t-elle le cours d'un large fleuve qui se jetait dans la mer. Elle vit de jolies collines vertes couvertes de vignes, des châteaux et des fermes apparaissaient au milieu des forêts, elle entendait les oiseaux chanter et le soleil ardent l'obligeait souvent à plonger pour rafraîchir son visage une petite anse, elle rencontra un groupe d'enfants qui couraient tout nus et barbotaient dans l'eau. Elle aurait aimé jouer avec eux, mais ils s'enfuirent effrayés, et un petit animal noir - c'était un chien, mais elle n'en avait jamais vu - aboya si férocement après elle qu'elle prit peur et nagea vers le large. La quatrième n'était pas si téméraire, elle resta au large et raconta que c'était là précisément le plus beau. On voyait à des lieues autour de soi et le ciel, au-dessus, semblait une grande cloche de verre. Elle avait bien vu des navires, mais de très loin, ils ressemblaient à de grandes mouettes, les dauphins avaient fait des culbutes et les immenses baleines avaient fait jaillir l'eau de leurs narines, des centaines de jets d'eau. Vint enfin le tour de la cinquième sœur. Son anniversaire se trouvait en hiver, elle vit ce que les autres n'avaient pas vu. La mer était toute verte, de- ci de-là flottaient de grands icebergs dont chacun avait l'air d'une était montée sur l'un d'eux et tous les voiliers s'écartaient effrayés de l'endroit où elle était assise, ses longs cheveux flottant au vent, mais vers le soir les nuages obscurcirent le ciel, il y eut des éclairs et du tonnerre, la mer noire élevait très haut les blocs de glace scintillant dans le zigzag de la foudre. Sur tous les bateaux, on carguait les voiles dans l'angoisse et l'inquiétude, mais elle, assise sur l'iceberg flottant, regardait la lame bleue de l'éclair tomber dans la mer un instant illuminée. La première fois que l'une des sœurs émergeait à la surface de la mer, elle était toujours enchantée de la beauté, de la nouveauté du spectacle, mais, devenues des filles adultes, lorsqu'elles étaient libres d'y remonter comme elles le voulaient, cela leur devenait indifférent, elles regrettaient leur foyer et, au bout d'un mois, elles disaient que le fond de la mer c'était plus beau et qu'on était si bien chez soi !Lorsque le soir les sœurs, se tenant par le bras, montaient à travers l'eau profonde, la petite dernière restait toute seule et les suivait des yeux ; elle aurait voulu pleurer, mais les sirènes n'ont pas de larmes et n'en souffrent que davantage. - Hélas ! que n'ai-je quinze ans ! soupirait-elle. Je sais que moi j'aimerais le monde de là-haut et les hommes qui y construisent leurs demeures. - Eh bien, tu vas échapper à notre autorité, lui dit sa grand-mère, la vieille reine douairière. Viens, que je te pare comme tes sœurs. Elle mit sur ses cheveux une couronne de lys blancs dont chaque pétale était une demi-perle et elle lui fit attacher huit huîtres à sa queue pour marquer sa haute naissance. - Cela fait mal, dit la petite. - Il faut souffrir pour être belle, dit la vieille. Oh! que la petite aurait aimé secouer d'elle toutes ces parures et déposer cette lourde couronne! Les fleurs rouges de son jardin lui seyaient mille fois mieux, mais elle n'osait pas à présent en changer. -Au revoir, dit-elle, en s'élevant aussi légère et brillante qu'une bulle à travers les eaux. Le soleil venait de se coucher lorsqu'elle sortit sa tête à la surface, mais les nuages portaient encore son reflet de rose et d'or et, dans l'atmosphère tendre, scintillait l'étoile du soir, si douce et si belle! L'air était pur et frais, et la mer sans un pli. Un grand navire à trois mâts se trouvait là, une seule voile tendue, car il n'y avait pas le moindre souffle de vent, et tous à la ronde sur les cordages et les vergues, les matelots étaient assis. On faisait de la musique, on chantait, et lorsque le soir s'assombrit, on alluma des centaines de lumières de couleurs diverses. On eût dit que flottaient dans l'air les drapeaux de toutes les petite sirène nagea jusqu'à la fenêtre du salon du navire et, chaque fois qu'une vague la soulevait, elle apercevait à travers les vitres transparentes une réunion de personnes en grande toilette. Le plus beau de tous était un jeune prince aux yeux noirs ne paraissant guère plus de seize ans. C'était son anniversaire, c'est pourquoi il y avait grande fête. Les marins dansaient sur le pont et lorsque Le jeune prince y apparut, des centaines de fusées montèrent vers le ciel et éclatèrent en éclairant comme en plein jour. La petite sirène en fut tout effrayée et replongea dans l'eau, mais elle releva bien vite de nouveau la tête et il lui parut alors que toutes les étoiles du ciel tombaient sur elle. Jamais elle n'avait vu pareille magie embrasée. De grands soleils flamboyants tournoyaient, des poissons de feu s'élançaient dans l'air bleu et la mer paisible réfléchissait toutes ces lumières. Sur le navire, il faisait si clair qu'on pouvait voir le moindre cordage et naturellement les personnes. Que le jeune prince était beau, il serrait les mains à la ronde, tandis que la musique s'élevait dans la belle nuit !Il se faisait tard mais la petite sirène ne pouvait détacher ses regards du bateau ni du beau prince. Les lumières colorées s'éteignirent, plus de fusées dans l'air, plus de canons, seulement, dans le plus profond de l'eau un sourd grondement. Elle flottait sur l'eau et les vagues la balançaient, en sorte qu'elle voyait l'intérieur du salon. Le navire prenait de la vitesse, l'une après l'autre on larguait les voiles, la mer devenait houleuse, de gros nuages parurent, des éclairs sillonnèrent au loin le ciel. Il allait faire un temps épouvantable ! Alors, vite les matelots replièrent les voiles. Le grand navire roulait dans une course folle sur la mer démontée, les vagues, en hautes montagnes noires, déferlaient sur le grand mât comme pour l'abattre, le bateau plongeait comme un cygne entre les lames et s'élevait ensuite sur marins, eux, si la petite sirène s'amusait de cette course, semblaient ne pas la goûter, le navire craquait de toutes parts, les épais cordages ployaient sous les coups. La mer attaquait. Bientôt le mât se brisa par le milieu comme un simple roseau, le bateau prit de la bande, l'eau envahit la cale. Alors seulement la petite sirène comprit qu'il y avait danger, elle devait elle- même se garder des poutres et des épaves tourbillonnant dans l'eau. Un instant tout fut si noir qu'elle ne vit plus rien et, tout à coup, le temps d'un éclair, elle les aperçut tous sur le pont. Chacun se sauvait comme il pouvait. C'était le jeune prince qu'elle cherchait du regard et, lorsque le bateau s'entrouvrit, elle le vit s'enfoncer dans la mer profonde. Elle en eut d'abord de la joie à la pensée qu'il descendait chez elle, mais ensuite elle se souvint que les hommes ne peuvent vivre dans l'eau et qu'il ne pourrait atteindre que mort le château de son ! il ne fallait pas qu'il mourût ! Elle nagea au milieu des épaves qui pouvaient l'écraser, plongea profondément puis remonta très haut au milieu des vagues, et enfin elle approcha le prince. Il n'avait presque plus la force de nager, ses bras et ses jambes déjà s'immobilisaient, ses beaux yeux se fermaient, il serait mort sans la petite sirène. Quand vint le matin, la tempête s'était apaisée, pas le moindre débris du bateau n'était en vue; le soleil se leva, rouge et étincelant et semblant ranimer les joues du prince, mais ses yeux restaient clos. La petite sirène déposa un baiser sur son beau front élevé et repoussa ses cheveux ruisselants. Elle voyait maintenant devant elle la terre ferme aux hautes montagnes bleues couvertes de neige, aux belles forêts vertes descendant jusqu'à la côte. Une église ou un cloître s'élevait là - elle ne savait au juste, mais un citrons et des oranges poussaient dans le jardin et devant le portail se dressaient des palmiers. La mer creusait là une petite crique à l'eau parfaitement calme, mais très profonde, baignant un rivage rocheux couvert d'un sable blanc très fin. Elle nagea jusque-là avec le beau prince, le déposa sur le sable en ayant soin de relever sa tête sous les chauds rayons du cloches se mirent à sonner dans le grand édifice blanc et des jeunes filles traversèrent le jardin. Alors la petite sirène s'éloigna à la nage et se cacha derrière quelque haut récif émergeant de l'eau, elle couvrit d'écume ses cheveux et sa gorge pour passer inaperçue et se mit à observer qui allait venir vers le pauvre prince. Une jeune fille ne tarda pas à s'approcher, elle eut d'abord grand-peur, mais un instant seulement, puis elle courut chercher du monde. La petite sirène vit le prince revenir à lui, il sourit à tous à la ronde, mais pas à elle, il ne savait pas qu'elle l'avait sauvé. Elle en eut grand-peine et lorsque le prince eut été porté dans le grand bâtiment, elle plongea désespérée et retourna chez elle au palais de son avait toujours été silencieuse et pensive, elle le devint bien davantage. Ses sœurs lui demandèrent ce qu'elle avait vu là-haut, mais elle ne raconta rien. Bien souvent le soir et le matin elle montait jusqu'à la place où elle avait laissé le prince. Elle vit mûrir les fruits du jardin et elle les vit cueillir, elle vit la neige fondre sur les hautes montagnes, mais le prince, elle ne le vit pas, et elle retournait chez elle toujours plus désespérée. A la fin elle n'y tint plus et se confia à l'une de ses sœurs. Aussitôt les autres furent au courant, mais elles seulement et deux ou trois autres sirènes qui ne le répétèrent qu'à leurs amies les plus intimes. L'une d'elles savait qui était le prince, elle avait vu aussi la fête à bord, elle savait d'où il était, où se trouvait son royaume. - Viens, petite sœur, dirent les autres s'enlaçant, elles montèrent en une longue chaîne vers la côte où s'élevait le château du prince. Par les vitres claires des hautes fenêtres on voyait les salons magnifiques où pendaient de riches rideaux de soie et de précieuses portières. Les murs s'ornaient, pour le plaisir des yeux, de grandes peintures. Dans la plus grande salle chantait un jet d'eau jaillissant très haut vers la verrière du plafond. Elle savait maintenant où il habitait et elle revint souvent, le soir et la nuit. Elle s'avançait dans l'eau bien plus près du rivage qu'aucune de ses sœurs n'avait osé le faire, oui, elle entra même dans l'étroit canal passant sous le balcon de marbre qui jetait une longue ombre sur l'eau et là elle restait à regarder le jeune prince qui se croyait seul au clair de lune. Bien des nuits, lorsque les pêcheurs étaient en mer avec leurs torches, elle les entendit dire du bien du jeune prince, elle se réjouissait de lui avoir sauvé la vie lorsqu'il roulait à demi mort dans les vagues. Elle songeait au poids de sa tête sur sa jeune poitrine et de quels fervents baisers elle l'avait couvert. Lui ne savait rien de tout cela, il ne pouvait même pas rêver d' plus en plus elle en venait à chérir les humains, de plus en plus elle désirait pouvoir monter parmi eux, leur monde, pensait-elle, était bien plus vaste que le sien. Ne pouvaient-ils pas sur leurs bateaux sillonner les mers, escalader les montagnes bien au-dessus des nuages et les pays qu'ils possédaient ne s'étendaient-ils pas en forêts et champs bien au-delà de ce que ses yeux pouvaient saisir ?Elle voulait savoir tant de choses pour lesquelles ses sœurs n'avaient pas toujours de réponses, c'est pourquoi elle interrogea sa vieille grand-mère, bien informée sur le monde d'en haut, comme elle appelait fort justement les pays au-dessus de la mer. - Si les hommes ne se noient pas, demandait la petite sirène, peuvent-ils vivre toujours et ne meurent-ils pas comme nous autres ici au fond de la mer ? - Si, dit la vieille, il leur faut mourir aussi et la durée de leur vie est même plus courte que la nôtre. Nous pouvons atteindre trois cents ans, mais lorsque nous cessons d'exister ici nous devenons écume sur les flots, sans même une tombe parmi ceux que nous aimons. Nous n'avons pas d'âme immortelle, nous ne reprenons jamais vie, pareils au roseau vert qui, une fois coupé, ne reverdit hommes au contraire ont une âme qui vit éternellement, qui vit lorsque leur corps est retourné en poussière. Elle s'élève dans l'air limpide jusqu'aux étoiles scintillantes. De même que nous émergeons de la mer pour voir les pays des hommes, ils montent vers des pays inconnus et pleins de délices que nous ne pourrons voir jamais. - Pourquoi n'avons-nous pas une âme éternelle ? dit la petite, attristée ; je donnerais les centaines d'années que j'ai à vivre pour devenir un seul jour un être humain et avoir part ensuite au monde céleste ! - Ne pense pas à tout cela, dit la vieille, nous vivons beaucoup mieux et sommes bien plus heureux que les hommes là-haut. - Donc, il faudra que je meure et flotte comme écume sur la mer et n'entende jamais plus la musique des vagues, ne voit plus les fleurs ravissantes et le rouge soleil. Ne puis-je rien faire pour gagner une vie éternelle ? - Non, dit la vieille, à moins que tu sois si chère à un homme que tu sois pour lui plus que père et mère, qu'il s'attache à toi de toutes ses pensées, de tout son amour, qu'il fasse par un prêtre mettre sa main droite dans la tienne en te promettant fidélité ici-bas et dans l'éternité. Alors son âme glisserait dans ton corps et tu aurais part au bonheur humain. Il te donnerait une âme et conserverait la sienne. Mais cela ne peut jamais arriver. Ce qui est ravissant ici dans la mer, ta queue de poisson, il la trouve très laide là-haut sur la terre. Ils n'y entendent rien, pour être beau, il leur faut avoir deux grossières colonnes qu'ils appellent des jambes. La petite sirène soupira et considéra sa queue de poisson avec désespoir. - Allons, un peu de gaieté, dit la vieille, nous avons trois cents ans pour sauter et danser, c'est un bon laps de temps. Ce soir il y a bal à la cour. Il sera toujours temps de sombrer dans le bal fut, il est vrai, splendide, comme on n'en peut jamais voir sur la terre. Les murs et le plafond, dans la grande salle, étaient d'un verre épais, mais clair. Plusieurs centaines de coquilles roses et vert pré étaient rangées de chaque côté et jetaient une intense clarté de feu bleue qui illuminait toute la salle et brillait à travers les murs de sorte que la mer, au-dehors, en était tout illuminée. Les poissons innombrables, grands et petits, nageaient contre les murs de verre, luisants d'écailles pourpre ou étincelants comme l'argent et l'or. Au travers de la salle coulait un large fleuve sur lequel dansaient tritons et sirènes au son de leur propre chant délicieux. La voix de la petite sirène était la plus jolie de toutes, on l'applaudissait et son cœur en fut un instant éclairé de joie car elle savait qu'elle avait la plus belle voix sur terre et sous l'onde. Mais très vite elle se reprit à penser au monde au-dessus d'elle, elle ne pouvait oublier le beau prince ni son propre chagrin de ne pas avoir comme lui une âme immortelle. C'est pourquoi elle se glissa hors du château de son père et, tandis que là tout était chants et gaieté, elle s'assit, désespérée, dans son petit jardin. Soudain elle entendit le son d'un cor venant vers elle à travers l' Il s'embarque sans doute là-haut maintenant, celui que j'aime plus que père et mère, celui vers lequel vont toutes mes pensées et dans la main de qui je mettrais tout le bonheur de ma vie. J'oserais tout pour les gagner, lui et une âme immortelle. Pendant que mes sœurs dansent dans le château de mon père, j'irai chez la sorcière marine, elle m'a toujours fait si peur, mais peut-être pourra-t-elle me conseiller et m'aider!Alors la petite sirène sortit de son jardin et nagea vers les tourbillons mugissants derrière lesquels habitait la sorcière. Elle n'avait jamais été de ce côté où ne poussait aucune fleur, aucune herbe marine, il n'y avait là rien qu'un fond de sable gris et nu s'étendant jusqu'au gouffre. L'eau y bruissait comme une roue de moulin, tourbillonnait et arrachait tout ce qu'elle pouvait atteindre et l'entraînait vers l'abîme. Il fallait à la petite traverser tous ces terribles tourbillons pour arriver au quartier où habitait la sorcière, et sur un long trajet il fallait passer au-dessus de vases chaudes et bouillonnantes que la sorcière appelait sa tourbière. Au-delà s'élevait sa maison au milieu d'une étrange forêt. Les arbres et les buissons étaient des polypes, mi-animaux mi-plantes, ils avaient l'air de serpents aux centaines de têtes sorties de terre. Toutes les branches étaient des bras, longs et visqueux, aux doigts souples comme des vers et leurs anneaux remuaient de la racine à la pointe. Ils s'enroulaient autour de tout ce qu'ils pouvaient saisir dans la mer et ne lâchaient jamais prise. Debout dans la forêt la petite sirène s'arrêta tout effrayée, son cœur battait d'angoisse et elle fut sur le point de s'en retourner, mais elle pensa au prince, à l'âme humaine et elle reprit courage. Elle enroula, bien serrés autour de sa tête, ses longs cheveux flottants pour ne pas donner prise aux polypes, croisa ses mains sur sa poitrine et s'élança comme le poisson peut voler à travers l'eau, au milieu des hideux polypes qui étendaient vers elle leurs bras et leurs arriva dans la forêt à un espace visqueux où s'ébattaient de grandes couleuvres d'eau montrant des ventres jaunâtres, affreux et gras. Au milieu de cette place s'élevait une maison construite en ossements humains. La sorcière y était assise et donnait à manger à un crapaud sur ses lèvres, comme on donne du sucre à un canari. - Je sais bien ce que tu veux, dit la sorcière, et c'est bien bête de ta part ! Mais ta volonté sera faite car elle t'apportera le malheur, ma charmante princesse. Tu voudrais te débarrasser de ta queue de poisson et avoir à sa place deux moignons pour marcher comme le font les hommes afin que le jeune prince s'éprenne de toi, que tu puisses l'avoir, en même temps qu'une âme immortelle. A cet instant, la sorcière éclata d'un rire si bruyant et si hideux que le crapaud et les couleuvres tombèrent à terre et grouillèrent. - Tu viens juste au bon moment, ajouta-t-elle, demain matin, au lever du soleil, je n'aurais plus pu t'aider avant une année entière. Je vais te préparer un breuvage avec lequel tu nageras, avant le lever du jour, jusqu'à la côte et là, assise sur la grève, tu le boiras. Alors ta queue se divisera et se rétrécira jusqu'à devenir ce que les hommes appellent deux jolies jambes, mais cela fait mal, tu souffriras comme si la lame d'une épée te traversait. Tous, en te voyant, diront que tu es la plus ravissante enfant des hommes qu'ils aient jamais vue. Tu garderas ta démarche ailée, nulle danseuse n'aura ta légèreté, mais chaque pas que tu feras sera comme si tu marchais sur un couteau effilé qui ferait couler ton sang. Si tu veux souffrir tout cela, je t'aiderai. - Oui, dit la petite sirène d'une voix tremblante en pensant au prince et à son âme immortelle. - Mais n'oublie pas, dit la sorcière, que lorsque tu auras une apparence humaine, tu ne pourras jamais redevenir sirène, jamais redescendre auprès de tes sœurs dans le palais de ton père. Et si tu ne gagnes pas l'amour du prince au point qu'il oublie pour toi son père et sa mère, qu'il s'attache à toi de toutes ses pensées et demande au pasteur d'unir vos mains afin que vous soyez mari et femme, alors tu n'auras jamais une âme immortelle. Le lendemain matin du jour où il en épouserait une autre, ton cœur se briserait et tu ne serais plus qu'écume sur la mer. - Je le veux, dit la petite sirène, pâle comme une morte. - Mais moi, il faut aussi me payer, dit la sorcière, et ce n'est pas peu de chose que je te demande. Tu as la plus jolie voix de toutes ici-bas et tu crois sans doute grâce à elle ensorceler ton prince, mais cette voix, il faut me la donner. Le meilleur de ce que tu possèdes, il me le faut pour mon précieux breuvage ! Moi, j'y mets de mon sang afin qu'il soit coupant comme une lame à deux tranchants. - Mais si tu prends ma voix, dit la petite sirène, que me restera-t-il ? - Ta forme ravissante, ta démarche ailée et le langage de tes yeux, c'est assez pour séduire un cœur d'homme. Allons, as-tu déjà perdu courage ? Tends ta jolie langue, afin que je la coupe pour me payer et je te donnerai le philtre tout puissant. - Qu'il en soit ainsi, dit la petite sirène, et la sorcière mit son chaudron sur le feu pour faire cuire la drogue magique. - La propreté est une bonne chose, dit-elle en récurant le chaudron avec les couleuvres dont elle avait fait un nœud. Elle s'égratigna le sein et laissa couler son sang épais et noir. La vapeur s'élevait en silhouettes étranges, terrifiantes. A chaque instant la sorcière jetait quelque chose dans le chaudron et la mixture se mit à bouillir, on eût cru entendre pleurer un crocodile. Enfin le philtre fut à point, il était clair comme l'eau la plus pure ! - Voilà, dit la sorcière et elle coupa la langue de la petite sirène. Muette, elle ne pourrait jamais plus ni chanter, ni parler. - Si les polypes essayent de t'agripper, lorsque tu retourneras à travers la forêt, jette une seule goutte de ce breuvage sur eux et leurs bras et leurs doigts se briseront en mille petite sirène n'eut pas à le faire, les polypes reculaient effrayés en voyant le philtre lumineux qui brillait dans sa main comme une étoile. Elle traversa rapidement la forêt, le marais et le courant mugissant. Elle était devant le palais de son père. Les lumières étaient éteintes dans la grande salle de bal, tout le monde dormait sûrement, et elle n'osa pas aller auprès des siens maintenant qu'elle était muette et allait les quitter pour toujours. Il lui sembla que son cœur se brisait de chagrin. Elle se glissa dans le jardin, cueillit une fleur du parterre de chacune de ses sœurs, envoya de ses doigts mille baisers au palais et monta à travers l'eau sombre et bleue de la mer. Le soleil n'était pas encore levé lorsqu'elle vit le palais du prince et gravit les degrés du magnifique escalier de marbre. La lune brillait merveilleusement claire. La petite sirène but l'âpre et brûlante mixture, ce fut comme si une épée à deux tranchants fendait son tendre corps, elle s'évanouit et resta étendue comme morte. Lorsque le soleil resplendit au-dessus des flots, elle revint à elle et ressentit une douleur aiguë. Mais devant elle, debout, se tenait le jeune prince, ses yeux noirs fixés si intensément sur elle qu'elle en baissa les siens et vit qu'à la place de sa queue de poisson disparue, elle avait les plus jolies jambes blanches qu'une jeune fille pût avoir. Et comme elle était tout à fait nue, elle s'enveloppa dans sa longue chevelure. Le prince demanda qui elle était, comment elle était venue là, et elle leva vers lui doucement, mais tristement, ses grands yeux bleus puis qu'elle ne pouvait parler. Alors il la prit par la main et la conduisit au palais. A chaque pas, comme la sorcière l'en avait prévenue, il lui semblait marcher sur des aiguilles pointues et des couteaux aiguisés, mais elle supportait son mal. Sa main dans la main du prince, elle montait aussi légère qu'une bulle et lui-même et tous les assistants s'émerveillèrent de sa démarche gracieuse et lui fit revêtir les plus précieux vêtements de soie et de mousseline, elle était au château la plus belle, mais elle restait muette. Des esclaves ravissantes, parées de soie et d'or, venaient chanter devant le prince et ses royaux parents. L'une d'elles avait une voix plus belle encore que les autres. Le prince l'applaudissait et lui souriait, alors une tristesse envahit la petite sirène, elle savait qu'elle-même aurait chanté encore plus merveilleusement et elle pensait Oh! si seulement il savait que pour rester près de lui, j'ai renoncé à ma voix à tout jamais ! »Puis les esclaves commencèrent à exécuter au son d'une musique admirable, des danses légères et gracieuses. Alors la petite sirène, élevant ses beaux bras blancs, se dressa sur la pointe des pieds et dansa avec plus de grâce qu'aucune autre. Chaque mouvement révélait davantage le charme de tout son être et ses yeux s'adressaient au cœur plus profondément que le chant des esclaves. Tous en étaient enchantés et surtout le prince qui l'appelait sa petite enfant trouvée. Elle continuait à danser et danser mais chaque fois que son pied touchait le sol, C'était comme si elle avait marché sur des couteaux aiguisés. Le prince voulut l'avoir toujours auprès de lui, il lui permit de dormir devant sa porte sur un coussin de velours. Il lui fit faire un habit d'homme pour qu'elle pût le suivre à cheval. Ils chevauchaient à travers les bois embaumés où les branches vertes lui battaient les épaules, et les petits oiseaux chantaient dans le frais feuillage. Elle grimpa avec le prince sur les hautes montagnes et quand ses pieds si délicats saignaient et que les autres s'en apercevaient, elle riait et le suivait là- haut d'où ils admiraient les nuages défilant au-dessous d'eux comme un vol d'oiseau migrateur partant vers des cieux lointains. La nuit, au château du prince, lorsque les autres dormaient, elle sortait sur le large escalier de marbre et, debout dans l'eau froide, elle rafraîchissait ses pieds brûlants. Et puis, elle pensait aux siens, en bas, au fond de la nuit elle vit ses sœurs qui nageaient enlacées, elles chantaient tristement et elle leur fit signe. Ses sœurs la reconnurent et lui dirent combien elle avait fait de peine à tous. Depuis lors, elles lui rendirent visite chaque soir, une fois même la petite sirène aperçut au loin sa vieille grand-mère qui depuis bien des années n'était montée à travers la mer et même le roi, son père, avec sa couronne sur la tête. Tous deux lui tendaient le bras mais n'osaient s'approcher au- tant que ses sœurs. De jour en jour, elle devenait plus chère au prince ; il l'aimait comme on aime un gentil enfant tendrement chéri, mais en faire une reine ! Il n'en avait pas la moindre idée, et c'est sa femme qu'il fallait qu'elle devînt, sinon elle n'aurait jamais une âme immortelle et, au matin qui suivrait le jour de ses noces, elle ne serait plus qu'écume sur la mer. - Ne m'aimes-tu pas mieux que toutes les autres ? semblaient dire les yeux de la petite sirène quand il la prenait dans ses bras et baisait son beau front. - Oui, tu m'es la plus chère, disait le prince, car ton cœur est le meilleur, tu m'est la plus dévouée et tu ressembles à une jeune fille une fois aperçue, mais que je ne retrouverai sans doute jamais. J'étais sur un vaisseau qui fit naufrage, les vagues me jetèrent sur la côte près d'un temple desservi par quelques jeunes filles ; la plus jeune me trouva sur le rivage et me sauva la vie. Je ne l'ai vue que deux fois et elle est la seule que j'eusse pu aimer d'amour en ce monde, mais toi tu lui ressembles, tu effaces presque son image dans mon âme puisqu'elle appartient au temple. C'est ma bonne étoile qui t'a envoyée à moi. Nous ne nous quitterons jamais. " Hélas ! il ne sait pas que c'est moi qui ai sauvé sa vie ! pensait la petite sirène. Je l'ai porté sur les flots jusqu'à la forêt près de laquelle s'élève le temple, puis je me cachais derrière l'écume et regardais si personne ne viendrait. J'ai vu la belle jeune fille qu'il aime plus que moi. " La petite sirène poussa un profond soupir. Pleurer, elle ne le pouvait pas. - La jeune fille appartient au lieu saint, elle n'en sortira jamais pour retourner dans le monde, ils ne se rencontreront plus, moi, je suis chez lui, je le vois tous les jours, je le soignerai, je l'adorerai, je lui dévouerai ma vie. Mais voilà qu'on commence à murmurer que le prince va se marier, qu'il épouse la ravissante jeune fille du roi voisin, que c'est pour cela qu'il arme un vaisseau magnifique ... On dit que le prince va voyager pour voir les Etats du roi voisin, mais c'est plutôt pour voir la fille du roi voisin et une grande suite l'accompagnera ... Mais la petite sirène secoue la tête et rit, elle connaît les pensées du prince bien mieux que tous les autres. - Je dois partir en voyage, lui avait-il dit. Je dois voir la belle princesse, mes parents l'exigent, mais m'obliger à la ramener ici, en faire mon épouse, cela ils n'y réussiront pas, je ne peux pas l'aimer d'amour, elle ne ressemble pas comme toi à la belle jeune fille du temple. Si je devais un jour choisir une épouse ce serait plutôt toi, mon enfant trouvée qui ne dis rien, mais dont les yeux parlent. Et il baisait ses lèvres rouges, jouait avec ses longs cheveux et posait sa tête sur son cœur qui se mettait à rêver de bonheur humain et d'une âme immortelle. - Toi, tu n'as sûrement pas peur de la mer, ma petite muette chérie ! lui dit-il lorsqu'ils montèrent à bord du vaisseau qui devait les conduire dans le pays du roi voisin. Il lui parlait de la mer tempétueuse et de la mer calme, des étranges poissons des grandes profondeurs et de ce que les plongeurs y avaient vu. Elle souriait de ce qu'il racontait, ne connaissait-elle pas mieux que quiconque le fond de l'océan? Dans la nuit, au clair de lune, alors que tous dormaient à bord, sauf le marin au gouvernail, debout près du bastingage elle scrutait l'eau limpide, il lui semblait voir le château de son père et, dans les combles, sa vieille grand- mère, couronne d'argent sur la tête, cherchant des yeux à travers les courants la quille du bateau. Puis ses sœurs arrivèrent à la surface, la regardant tristement et tordant leurs mains blanches. Elle leur fit signe, leur sourit, voulut leur dire que tout allait bien, qu'elle était heureuse, mais un mousse s'approchant, les sœurs replongèrent et le garçon demeura persuadé que cette blancheur aperçue n'était qu'écume sur l'eau. Le lendemain matin le vaisseau fit son entrée dans le port splendide de la capitale du roi voisin. Les cloches des églises sonnaient, du haut des tours on soufflait dans les trompettes tandis que les soldats sous les drapeaux flottants présentaient les armes. Chaque jour il y eut fête; bals et réceptions se succédaient mais la princesse ne paraissait pas encore. On disait qu'elle était élevée au loin, dans un couvent où lui étaient enseignées toutes les vertus royales. Elle vint, enfin !La petite sirène était fort impatiente de juger de sa beauté. Il lui fallut reconnaître qu'elle n'avait jamais vu fille plus gracieuse. Sa peau était douce et pâle et derrière les longs cils deux yeux fidèles, d'un bleu sombre, souriaient. C'était la jeune fille du temple ... - C'est toi ! dit le prince, je te retrouve - toi qui m'as sauvé lorsque je gisais comme mort sur la grève ! Et il serra dans ses bras sa fiancée rougissante. Oh ! je suis trop heureux, dit-il à la petite sirène. Voilà que se réalise ce que je n'eusse jamais osé espérer. Toi qui m'aimes mieux que tous les autres, tu te réjouiras de mon bonheur. La petite sirène lui baisait les mains, mais elle sentait son cœur se briser. Ne devait-elle pas mourir au matin qui suivrait les noces ? Mourir et n'être plus qu'écume sur la mer ! Des hérauts parcouraient les rues à cheval proclamant les fiançailles. Bientôt toutes les cloches des églises sonnèrent, sur tous les autels des huiles parfumées brûlaient dans de précieux vases d'argent, les prêtres balancèrent les encensoirs et les époux se tendirent la main et reçurent la bénédiction de l'évêque. La petite sirène, vêtue de soie et d'or, tenait la traîne de la mariée mais elle n'entendait pas la musique sacrée, ses yeux ne voyaient pas la cérémonie sainte, elle pensait à la nuit de sa mort, à tout ce qu'elle avait perdu en ce monde. Le soir même les époux s'embarquèrent aux salves des canons, sous les drapeaux flottants. Au milieu du pont, une tente d'or et de pourpre avait été dressée, garnie de coussins moelleux où les époux reposeraient dans le calme et la fraîcheur de la nuit. Les voiles se gonflèrent au vent et le bateau glissa sans effort et sans presque se balancer sur la mer limpide. La nuit venue on alluma des lumières de toutes les couleurs et les marins se mirent à petite sirène pensait au soir où, pour la première fois, elle avait émergé de la mer et avait aperçu le même faste et la même joie. Elle se jeta dans le tourbillon de la danse, ondulant comme ondule un cygne pourchassé et tout le monde l'acclamait et l'admirait elle n'avait jamais dansé si divinement. Si des lames aiguës transperçaient ses pieds délicats, elle ne les sentait même pas, son cœur était meurtri d'une bien plus grande douleur. Elle savait qu'elle le voyait pour la dernière fois, lui, pour lequel elle avait abandonné les siens et son foyer, perdu sa voix exquise et souffert chaque jour d'indicibles tourments, sans qu'il en eût connaissance. C'était la dernière nuit où elle respirait le même air que lui, la dernière fois qu'elle pouvait admirer cette mer profonde, ce ciel plein d'étoiles. La nuit éternelle, sans pensée et sans rêve, l'attendait, elle qui n'avait pas d'âme et n'en pouvait espérer. Sur le navire tout fut plaisir et réjouissance jusque bien avant dans la nuit. Elle dansait et riait mais la pensée de la mort était dans son cœur. Le prince embrassait son exquise épouse qui caressait les cheveux noirs de son époux, puis la tenant à son bras il l'amena se reposer sous la tente splendide. Alors, tout fut silence et calme sur le navire. Seul veillait l'homme à la barre. La petite sirène appuya ses bras sur le bastingage et chercha à l'orient la première lueur rose de l'aurore, le premier rayon du soleil qui allait la elle vit ses sœurs apparaître au-dessus de la mer. Elles étaient pâles comme elle-même, leurs longs cheveux ne flottaient plus au vent, on les avait coupés. - Nous les avons sacrifiés chez la sorcière pour qu'elle nous aide, pour que tu ne meures pas cette nuit. Elle nous a donné un couteau. Le voici. Regarde comme il est aiguisé ... Avant que le jour ne se lève, il faut que tu le plonges dans le cœur du prince et lorsque son sang tout chaud tombera sur tes pieds, ils se réuniront en une queue de poisson et tu redeviendras sirène. Tu pourras descendre sous l'eau jusque chez nous et vivre trois cents ans avant de devenir un peu d'écume salée. Hâte-toi ! L'un de vous deux doit mourir avant l'aurore. Notre vieille grand-mère a tant de chagrin qu'elle a, comme nous, laissé couper ses cheveux blancs par les ciseaux de la sorcière. Tue le prince, et reviens-nous. Hâte-toi ! Ne vois-tu pas déjà cette traînée rose à l'horizon ? Dans quelques minutes le soleil se lèvera et il te faudra mourir. Un soupir étrange monta à leurs lèvres et elles s'enfoncèrent dans les vagues. La petite sirène écarta le rideau de pourpre de la tente, elle vit la douce épousée dormant la tête appuyée sur l'épaule du prince. Alors elle se pencha et posa un baiser sur le beau front du jeune homme. Son regard chercha le ciel de plus en plus envahi par l'aurore, puis le poignard pointu, puis à nouveau le prince, lequel, dans son sommeil, murmurait le nom de son épouse qui occupait seule ses pensées, et le couteau trembla dans sa main. Alors, tout à coup, elle le lança au loin dans les vagues qui rougirent à l'endroit où il toucha les flots comme si des gouttes de sang jaillissaient à la surface. Une dernière fois, les yeux voilés, elle contempla le prince et se jeta dans la mer où elle sentit son corps se dissoudre en le soleil surgissait majestueusement de la mer. Ses rayons tombaient doux et chauds sur l'écume glacée et la petite sirène ne sentait pas la mort. Elle voyait le clair soleil et, au-dessus d'elle, planaient des centaines de charmants êtres transparents. A travers eux, elle apercevait les voiles blanches du navire, les nuages roses du ciel, leurs voix étaient mélodieuses, mais si immatérielles qu'aucune oreille terrestre ne pouvait les capter, pas plus qu'aucun regard humain ne pouvait les voir. Sans ailes, elles flottaient par leur seule légèreté à travers l'espace. La petite sirène sentit qu'elle avait un corps comme le leur, qui s'élevait de plus en plus haut au-dessus de l'écume. - Où vais-je ? demanda-t-elle. Et sa voix, comme celle des autres êtres, était si immatérielle qu'aucune musique humaine ne peut l'exprimer. - Chez les filles de l'air, répondirent-elles. Une sirène n'a pas d'âme immortelle, ne peut jamais en avoir, à moins de gagner l'amour d'un homme. C'est d'une volonté étrangère que dépend son existence éternelle. Les filles de l'air n'ont pas non plus d'âme immortelle, mais elles peuvent, par leurs bonnes actions, s'en créer une. Nous nous envolons vers les pays chauds où les effluves de la peste tuent les hommes, nous y soufflons la fraîcheur. Nous répandons le parfum des fleurs dans l'atmosphère et leur arôme porte le réconfort et la guérison. Lorsque durant trois cents ans nous nous sommes efforcées de faire le bien, tout le bien que nous pouvons, nous obtenons une âme immortelle et prenons part à l'éternelle félicité des hommes. Toi, pauvre petite sirène, tu as de tout cœur cherché le bien comme nous, tu as souffert et supporté de souffrir, tu t'es haussée jusqu'au monde des esprits de l'air, maintenant tu peux toi-même, par tes bonnes actions, te créer une âme immortelle dans trois cents la petite sirène leva ses bras transparents vers le soleil de Dieu et, pour la première fois, des larmes montèrent à ses yeux. Sur le bateau, la vie et le bruit avaient repris, elle vit le prince et sa belle épouse la chercher de tous côtés, elle les vit fixer tristement leurs regards sur l'écume dansante , comme s'ils avaient deviné qu'elle s'était précipitée dans les vagues. Invisible elle baisa le front de l'époux, lui sourit et avec les autres filles de l'air elle monta vers les nuages roses qui voguaient dans l'air. - Dans trois cents ans, nous entrerons ainsi au royaume de Dieu. - Nous pouvons même y entrer avant, murmura l'une d'elles. Invisibles nous pénétrons dans les maisons des hommes où il y a des enfants et, chaque fois que nous trouvons un enfant sage, qui donne de la joie à ses parents et mérite leur amour, Dieu raccourcit notre temps d'épreuve. Lorsque nous voltigeons à travers la chambre et que de bonheur nous sourions, l'enfant ne sait pas qu'un an nous est soustrait sur les trois cents, mais si nous trouvons un enfant cruel et méchant, il nous faut pleurer de chagrin et chaque larme ajoute une journée à notre temps d' AlonzoParoles de « On Met Les Voiles »: Kore, Alonz', yeah / Mamé / [Refrain] (x2) / Au quartier c'est la merde Deutsch English Español Français Hungarian Italiano
La traduction de Wave de Justin Timberlake est disponible en bas de page juste après les paroles originales Yeah This is? Yeah, come on, go hahahaha Wave Wave, wave Wave Let's go to an island Like we did last year, catch a vibe The dreamiest weather Gon' do a spa and bonfires I got on rose-colored glasses Battin' your eyelashes Come on, don't be passive So last time will be magic This is fantastic, and we could get some practice And miles on our passes for love Would you believe we're alone? So far from home, but you love it though Set yourself free, in the zone Ain't got no phone, don't need it though 'Cause it ain't got no waves waves Waves waves Waves waves Waves waves And just wave wave Wave wave Wave wave Wave wave Now the other way wave Now the other way wave Now the other way wave Now the other way wave Now the other way wave Now the other way wave Now the other way wave Now the other way wave Uh, hey Let's do some more riding I'll catch a couple fish, then we can dine Look, we're getting better Aging like your favorite wine I got on rose-colored glasses Battin' your eyelashes Come on, don't be passive So last time will be magic This is fantastic, and we could get some practice And miles on our passes for love Would you believe we're alone? So far from home, but you love it though Set yourself free, in the zone Ain't got no phone, don't need it though 'Cause it ain't got no waves waves Waves waves Waves waves Waves waves And just wave wave Wave wave Wave wave Wave wave Wave wave Wave Wave, wave Wave Wave, wave I swear that you yeah, we're goin' Summer's time, my favorite pursuit yeah, we're goin' Bring your ring of shades, no need for shoes yeah, we're goin' All I need is your skin and the air I swear to you go babe, go babe Summer's time, my favorite pursuit let's go, let's go, let's go, let's go Bring your ring of shades, no need for shoes go babe, go babe All I need is your skin and the air let's go, let's go, let's go Wave Wave wave Wave Wave Wave wave Wave Wave Wave, wave Wave Wave, wave Wave, wave I got on rose-colored glasses Battin' your eyelashes Come on, don't be passive So last time will be magic This is fantastic, and we could get some practice And miles on our passes for love Would you believe we're alone? So far from home, but you love it though Set yourself free, in the zone Ain't got no phone, don't need it though 'Cause it ain't got no waves waves Waves waves Waves waves Waves waves And just wave wave Wave wave Wave wave Wave wave Now the other way Now the other way wave Now the other way wave, wave Now the other way Now the other way wave, wave Now the other way Now the other way wave Now the other way wave Traduction Wave - Justin Timberlake Yeah C'est ? Yeah, allez, allez hahahaha Disons au revoir Voguons sur les vagues, Mettons les voiles Allons sur une île Comme on l'a fait l'an dernier, saisissons l'ambiance Le temps magnifique par excellence Allons faire un spa et des feux de joie Avec mes lunettes, je vois la vie en rose Tu bats des cils Allez, ne sois pas passive Notre dernière fois sera magique C'est fantastique, on pourrait avoir de la pratique Et des miles sur nos badges pour voyages Le croirais-tu si on était seuls ? Même si on est loin de chez nous, tu aimes ça Libère-toi, on est concentrés sur nous Il n'y a pas de téléphone, mais on n'en a pas besoin Car il n'y a pas d'ondes ondes Ondes ondes Ondes ondes Ondes ondes Disons au revoir au revoir Voguons sur les vagues vagues Mettons les voiles voiles Disons au revoir au revoir A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde Oui, oui ! En auto, en moto, en bateau, faisons plus de virée J'attraperai des poissons et on pourra dîner Regarde, on est en train de s'améliorer Avec l'âge, on se bonifie comme ton vin préféré Avec mes lunettes, je vois la vie en rose Tu bats des cils Allez, ne sois pas passive Notre dernière fois sera magique C'est fantastique, on pourrait avoir de la pratique Et des miles sur nos badges pour voyages Le croirais-tu si on était seuls ? Même si on est loin de chez nous, tu aimes ça Libère-toi, on est concentrés sur nous Il n'y a pas de téléphone, mais on n'en a pas besoin Car il n'y a pas d'ondes ondes Ondes ondes Ondes ondes Ondes ondes Disons au revoir au revoir Voguons sur les vagues vagues Mettons les voiles voiles Disons au revoir au revoir Disons au revoir au revoir Mettons les voiles voiles Disons au revoir au revoir Mettons les voiles voiles Oui, je te jure que nous... Partirons cet été, mon passe-temps préféré oui, on partira Apporte tes lunettes de soleil, pas besoin de chaussures oui, on partira Tout ce qu'il me faut, c'est ta peau et de l'air Je te jure allez, bébé ; allez, bébé Nous partirons cet été, mon passe-temps préféré on y va, on y va, on y va, on y va Apporte tes lunettes de soleil, pas besoin de chaussures allez, bébé ; allez, bébé Tout ce qu'il me faut, c'est ta peau et de l'air on y va, on y va, on y va, on y va Disons au revoir Mettons les voiles mettons les voiles Disons au revoir Disons au revoir Mettons les voiles mettons les voiles Disons au revoir Disons au revoir Mettons les voiles, mettons les voiles Disons au revoir Disons au revoir Mettons les voiles, mettons les voiles Avec mes lunettes, je vois la vie en rose Tu bats des cils Allez, ne sois pas passive Notre dernière fois sera magique C'est fantastique, on pourrait avoir de la pratique Et des miles sur nos badges pour voyages Le croirais-tu si on était seuls ? Même si on est loin de chez nous, tu aimes ça Libère-toi, on est concentrés sur nous Il n'y a pas de téléphone, mais on n'en a pas besoin Car il n'y a pas d'ondes ondes Ondes ondes Ondes ondes Ondes ondes Disons au revoir au revoir Voguons sur les vagues vagues Mettons les voiles voiles Disons au revoir au revoir A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde A cette seconde, cap pour un autre monde monde Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
UNTTLD la griffe québécoise qui a le vent dans les voiles Intemporelle, surprenante: la griffe québécoise a bien choisi son nom! Le duo inspirant qui l'incarne nous a ouvert les portes de son atelier pour parler mode, défis et envies, évidemment. par: Emmanuelle Martinez-Curvalle-01 mars 2016. Lorsque José Manuel St-Jacques m’accueille ce matin
[ Rame ] [ Rame ] [ Rame ] [ Rame ] [ Rame ] Dans toutes les galères Nous avons ramé Ah ! Si la galère Nous était contée Le capitaine était plombier [ Il n'a jamais su naviguer ] L'Africain qui tape au tambour [ Est aussi balèze qu'il est sourd ] Le p'tit sadique avec le fouet [ Était speaker à Radio Gay ] Et ces maudites puces qui nous piquent [ Ne connaissent pas l'informatique ] Mais mais qu'est-ce... qu'on peut faire Les deux pieds, les deux mains dans les fers ? Libérez les rameurs Inventez la voile et la vapeur ! [ Rame ] Ce midi, double ration d'épinards... [ Aaaaaaah ! } ...Le capitaine veut faire du ski nautique derrière la galère ! [ Oooooooh ! ] Dans toutes les galères Nous avons ramé Ah ! Si la galère Nous était contée Le capitaine est très méchant [ Il met des oursins sur les bancs ] Quand les requins ont d' l'appétit [ Il nous fait prendre un bain d'minuit ] La s'maine où on a bien ramé [ On a le droit de regarder ] La p'tite sirène qui se dévoile [ Le samedi soir au fond d'la cale ] Mais mais qu'est-ce... qu'on peut faire Les deux pieds, les deux mains dans les fers ? Libérez les rameurs Inventez la voile et la vapeur ! Vous avez un quart d'heure pour aller au Pôle Nord... [ Pourquoi ? ] ...Le capitaine veut mettre des glaçons dans son whisky ! Ha ha ! Dans toutes les galères Nous avons ramé Ah ! Si la galère Nous était contée Y'a d'la révolution dans l'air [ On va détourner la galère ! ] Le capitaine 'y va payer [ On va en faire de la purée ! ] Le p'tit sadique avec le fouet [ On vous raconte pas c' qu'on lui met ! ] Mais mais qu'est-ce... qu'on peut faire Les deux pieds, les deux mains dans les fers ? Libérez les rameurs Inventez la voile et la vapeur ! Bonne nouvelle ! Vous êtes tous libérés [ Ouaiiiiiiiiis !!! ] La galère est en train d'couler [ OOOOOOhhhhhhhhh !!! ] Dans toutes les galères Nous avons ramé Ah ! Si la galère Nous était contée [ Rame ] [ Rame ] Ah, la galère ! [ Rame ] [ Rame ] Pit&RikQuand je vous l'dis qu'on avait des petits chefs d'oeuvres dans les années 80 ! Je suis fan Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. Ya pas à dire !La chanson française, c du bon !Haaa les années 80 le bac, le permis tout çà à Clermont ! Bises J'aime En réponse à nolah_1268779 Ya pas à dire !La chanson française, c du bon !Haaa les années 80 le bac, le permis tout çà à Clermont ! BisesAh t'es de cette génération ? Ah pit & Rik... On osait... on osait J'aime En réponse à Joanne 46658325 Ah t'es de cette génération ? Ah pit & Rik... On osait... on osait Ben voui ........ çà nous rajeunit pas tout çà ! J'aime Vous ne trouvez pas votre réponse ? En réponse à nolah_1268779 Ben voui ........ çà nous rajeunit pas tout çà ! on s'en fout...tant qu'on marche sans canne, on tient la vie... Après, avec la canne, l'avantage, c'est qu'on peut se goinffrer de tout... Plus besoin de plaire... petits plaisirs deviendront grands J'aime Regarde! et pour preuve que les eighties c'était 1980 "Rame"-Pagaie, pas gai,Sur cette vieille pas gai T'arriveras nulle part,Héron. {2x}Là-haut, guetteur,Vois-tu, vois-tu ailleurs ?Bout d'bois, {2x}Beau caoutchouc,Flotte-moi {2x}Plus loin qu'chez {2x}Tu m'as ailleurs c'est comme ici.{Refrain}Rame, rame. Rameurs, avance à rien dans c' t'mène en bateau Tu n'pourras jamais tout quitter, t'en aller...Tais-toi et vais {2x}Mais l'eau est peine cordon, ficelle serrée,Lâchez, lâchez j'veux m'en aller.{Refrain x5} J'aime En réponse à Joanne 46658325 on s'en fout...tant qu'on marche sans canne, on tient la vie... Après, avec la canne, l'avantage, c'est qu'on peut se goinffrer de tout... Plus besoin de plaire... petits plaisirs deviendront grands Ouais génial !T'en viendrais presque à me faire aimer vieillir ! J'aime
Lesyeux fixés sur mes pensées. Seul, inconnue, le dos courbé, les mains croisées je marcherai. Les yeux fixés sur mes pensées. Sans rien voir au dehors. Sans entendre aucun bruit. Et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai. Ni l'or du soir qui tombe. Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur.

10 poèmes à lire pour l’enterrement, les obsèques, les funérailles d’un proche 1. L’arbre et la graine Quelqu’un meurt et c’est comme des pas qui s’arrêtent …. Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? Quelqu’un meurt et c’est comme une porte qui claque … Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ? Quelqu’un meurt et c’est comme un arbre qui tombe … Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ? Quelqu’un meurt et c’est comme un silence qui hurle …. Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ? Benoît Marchon Et un sourire La nuit n’est jamais complète Il y a toujours Puisque je le dis Puisque je l’affirme Au bout du chagrin Une fenêtre ouverte Une fenêtre éclairée Il y a toujours Un rêve qui veille Désir à combler Faim à satisfaire Un coeur généreux Une main tendue Une main ouverte Des yeux attentifs Une vie La vie à se partager. Paul Eluard 3. Demain, dès l’aube Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo 4. Sans titre Vous pouvez verser des larmes parce qu’elle s’en est allée, ou vous pouvez sourire parce qu’elle a vécu. Vous pouvez fermer vos yeux et prier qu’elle revienne, ou vous pouvez ouvrir vos yeux et voir tout ce qu’elle nous a laissé. Votre coeur peut être vide parce que vous ne pouvez la voir, ou il peut être plein de l’amour que vous avez partagé. Vous pouvez tourner le dos à demain et vivre hier, ou vous pouvez être heureux demain parce qu’il y a eu hier. Vous pouvez vous souvenir d’elle et ne penser qu’à son départ, ou vous pouvez chérir sa mémoire et la laisser vivre. Vous pouvez pleurer et vous fermer, ignorer et tourner le dos, ou vous pouvez faire ce qu’elle aurait voulu Sourire, ouvrir les yeux, aimer et continuer Eileen Cicole 5. Devant ma tombe Ne reste pas à pleurer devant ma tombe, Je n’y suis pas, je n’y dors pas. Je suis un millier de vents qui soufflent ; Je suis le scintillement du diamant sur la neige. Je suis la lumière du soleil sur le grain mûr ; Je suis la douce pluie d’automne. Quand tu t’éveilles dans le calme du matin, Je suis le prompt essor Qui lance vers le ciel où ils tournoient les oiseaux silencieux. Je suis la douce étoile qui brille la nuit. Ne reste pas à te lamenter devant ma tombe. Je n’y suis pas ; je ne suis pas mort. Anonyme 6. Il restera de toi Il restera de toi ce que tu as donné Au lieu de le garder dans des coffres rouillés… Ce que tu as donné en d’autres fleurira… Il restera de toi ce que tu as offert Entre tes bras ouverts un matin au soleil… Ce que tu as offert en d’autres revivra… Il restera de toi un sourire épanoui Aux bords de tes lèvres comme au bord de ton cœur… Ce que tu as ouvert en d’autres grandira… Il restera de toi ce que tu as semé Que tu as partagé aux mendiants du bonheur… Ce que tu as semé en d’autres germera… Simone Veil 7. L’échelle des anges Je ne sais pas d’où je viens mais je sais que j’ai toujours été ici. Je ne sais pas qui je suis mais je sais que ce que je suis est ce que l’autre est. Je ne sais pas où je suis, mais je sais que ce lieu n’a pas de limites. Je ne sais pas où je vais, mais je sais qu’à toutes heures quelqu’un m’accompagne. Je ne sais pas quel est mon but, mais je sais que pour le connaître, je dois arriver à moi-même. Je ne sais pas ce que je cherche, mais je sais que ce que je cherche me cherche. Je ne sais pas ce que je peux recevoir, mais je sais remercier pour ce qu’on m’a donné. Alexandro Jodorowsky 8. Au bord du vide Nous voici aujourd’hui au bord du vide Puisque nous cherchons partout le visage que nous avons perdu. Il était notre avenir et nous avons perdu notre avenir. Il était des nôtres et nous avons perdu cette part de nous-mêmes. Il nous questionnait et nous avons perdu sa question. Nous voici seuls, nos lèvres serrées sur nos pourquoi. Nous sommes venus ici chercher, chercher quelque chose ou quelqu’un. Chercher cet amour plus fort que la mort. Paul Éluard 9. Sans titre Un être humain qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit. C’est un immortel qui commence. C’est pourquoi en allant confier où il dormira doucement à côté des siens, en attendant que j’aille l’y rejoindre, je ne lui dis pas adieu, je lui dis à bientôt. Car la douleur qui me serre le cœur raffermit, à chacun de ses battements, ma certitude qu’il est impossible d’autant aimer un être et de le perdre pour toujours. Ceux que nous avons aimés et que nous avons perdus ne sont plus où ils étaient, mais ils sont toujours et partout où nous sommes. Cela s’appelle d’un beau mot plein de poésie et de tendresse le souvenir. Doris Lussier 10. Ton souvenir est comme un livre Ton Souvenir est comme un livre bien aimé, Qu’on lit sans cesse, et qui jamais n’est refermé, Un livre où l »on vit mieux sa vie, et qui vous hante D’un rêve nostalgique, où l »âme se tourmente. Je voudrais, convoitant l »impossible en mes voeux, Enfermer dans un vers l’odeur de tes cheveux ; Ciseler avec l’art patient des orfèvres Une phrase infléchie au contour de tes lèvres ; Emprisonner ce trouble et ces ondes d’émoi Qu’en tombant de ton âme, un mot propage en moi ; Dire quelle mer chante en vagues d’élégie Au golfe de tes seins où je me réfugie ; Dire, oh surtout ! tes yeux doux et tièdes parfois Comme une après-midi d’automne dans les bois ; De l’heure la plus chère enchâsser la relique, Et, sur le piano, tel soir mélancolique, Ressusciter l’écho presque religieux D’un ancien baiser attardé sur tes yeux. Albert Samain Pour aller plus loin Si vous souhaitez allez plus loin n’hésitez pas à consulter ma chaîne youtube en cliquant ici Si vous souhaitez lire d’autres articles a propos des cérémonies d’hommages, des rituels, … cliquez-ici

LéopoldineHugo, un amour de jeune femme. Léopoldine est la fille aînée de Victor Hugo. Alors qu’elle a à peine 16 ans, elle tombe éperdument amoureuse d’un certain Charles Vacquerie, à peine plus âgé qu’elle. Forcément, Papa Victor trouve sa fille bien trop jeune pour vivre une passion amoureuse et penser au mariage.
Revenons sur terreOn manque d'air dans les villesPresque autant que de rêvesOn s'agite immobileDès que le soleil se lèveEt jusqu'au soir qui tombeLe temps use nos visagesCreuse nos rides, nos tombesChaque jour d'avantageOn court, on court, on courtOn dit qu'on n'a pas le choixOn court après l'argentOn court le court sans joieOn court après du ventAprès n'importe quoiOn s'aperçoit qu'au bout c'est le temps qui court plus vite que nous Allez stop, allez on met les voilesCap sur du vrai, du beauIl vaut mieux un cheval que 230 chevauxAllez stop, c'est la fin de la courseUn petit lopin, deux poules et trois lapins, retour aux sourcesComme dit le vieux Voltaire, cultivons nos jardinsStop, et revenons sur Terre On étouffe dans les villesLoin de notre natureNuage automobileDu goudron et des mursLes bébés toussent et pleurentQuant aux vieux, ils suffoquentAlors pour pas qu'ils meurentOn leur vend des médocsOn court, on court, on courtAprès la bourse, le CACOn court après les coursEt puis un jour on saute à côté de la plaquePeut-être qu'on a faimD'autres choses que d'affairesS'asseoir, se taire et voir qu'il y a tout un monde à refaire Allez stop, allez on met les voilesCap sur du vrai, du beauIl vaut mieux un cheval que 230 chevauxAllez stop, c'est la fin de la courseUn petit lopin, deux poules et trois lapins, retour aux sourcesComme dit le vieux Voltaire, cultivons nos jardinsStop, et revenons sur terreSur terre On reprendra le pouvoir sur le cours de nos viesOn sèmera de l'espoir en graine de paradisPeut-être qu'on a faim d'autres choses que d'affairesS'asseoir, se taire, faire comme l'ami RabbyLa part du colibri Allez stop, allez on met les voilesCap sur du vrai, du beauIl vaut mieux un cheval que 230 chevauxAllez stop, c'est la fin de la courseUn petit lopin, deux poules et trois lapins, retour aux sourcesComme dit le vieux Voltaire, cultivons nos jardinsStop, et revenons sur terreSur terre Et revenons sur terreSur terreEt revenons sur Terre

LESLIEUX DE LA MUSIQUE FOLK EN ANGLETERRE (1890-1985), PAR ÉLISA MANTIN. La musique folk tient une place particulière dans l'histoire musicale et culturelle de l'Angleterre. Depuis les années 60, on rassemble sous ce terme composite aussi bien la chanson d'auteur-compositeur ou la chanson ouvrière, que la chanson rurale

Les paroles de On met les voiles de Alonzo ont été traduites en 2 languesKore, Alonz′, yeah Mamé Au quartier c'est la merde, oui viens on s′fait la malle Au calme en bord de mer, qu'on kiffe la life Ici tu connais, y'a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Au quartier c′est la merde, oui viens on s′fait la malle Au calme en bord de mer, qu'on kiffe la life Ici tu connais, y′a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Pattaya on arrive T'es pas prêt, tu connais pas l′délire À la cité tout part à la dérive Tu ressens la sère-mi sur la tête à Karim Changement de décor, on se casse à l'aéroport Vas-y prends seulement ton passeport On va fuck, on va fuck, on va fuck À peine arrivé je veux plus rentrer à la maison J′parle français, anglais ou thaïlandais c'est avec l'accent Tout est contrefaçon, on s′en bat les couilles ′toutes façons Loin de tous mes ennemis Tu peux pas comprendre car tu connais pas nos vies Au quartier c'est la merde, oui viens on s′fait la malle Au calme en bord de mer, qu'on kiffe la life Ici tu connais, y′a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Au quartier c'est la merde, oui viens on s′fait la malle Au calme en bord de mer, qu'on kiffe la life Ici tu connais, y'a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Ouais ouais ouais on connaît T′as ken un ladyboy on t′a cramé Le dancefloor est rempli de Belvés Si t'es jaloux c′est peut-être que tu me remets Bébé j'suis le meilleur Tu trouveras pas mieux ailleurs Si tu me mets de mauvais humeur Je te plaque, je te plaque, je te plaque C′est le paradis des cailles-ra, 12 heures d'avion Rien à foutre j′ai les poches pleines de bahts Je dépense, j'suis le patron On se donne en spectacle T-Max noir mâte, pas d'plaque On s′défoule au centre de tirs Tu peux pas comprendre car tu connais pas nos vies Au quartier c′est la merde, oui viens on s'fait la malle Au calme en bord de mer, qu′on kiffe la life Ici tu connais, y'a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Au quartier c′est la merde, oui viens on s'fait la malle Au calme en bord de mer, qu′on kiffe la life Ici tu connais, y'a rien à faire Prépare tes affaires on met les voiles Besoin de faire la fête à Pattaya Pattaya, ouais ouais Pattaya, Pattaya Pattaya, ouais ouais Pattaya, Pattaya Pattaya, ouais ouais Pattaya, Pattaya Pattaya, ouais ouais Pattaya, Pattaya Pattaya!Writers Aurélien Mazin, Dj Kore, Quentin Lepoutre, Kassimou Djae alonzo Niles voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. b) La mesure du vers Détermine les différentes parties du poème, ses rimes et le nombre de pieds. Détermine les différentes parties du poème, ses rimes et le nombre de pieds. Demain dès l’aube (Victor Hugo, Les Paroles de la chanson TGV par Blondin L'eurotrip se profile, c'est cosmique je profite Un pub de Manchester, un bar de Barcelone Un club à Budapest, voyage ou rate le coche Ma valise est faite, j'ai mes papiers du cash Et des capotes en poche, ma tactique est claire J'ai ma vie je rêve de m'évader du cadre et mon avion s'envole Bye bye, on part à l'est, on met les voiles avec Ryanair Sur le départ, jamais à la traine, crois moi, on fera la fête Bam bam, j'ai des bons paramètres Voyage dans un monde parallèle On se marre, je vois que c'est le carnage Et quand ça s'fracasse et que ça monte à la tête Quatre heures du mat', je mange un dürüm si j'ai pas pécho Elle m'allume grave, je crois que c'est chaud C'est la chaleur du soir, dès qu'on danse l'amour fou Oui c'est la débauche C'est vrai, je m'entoure de bitch, j'aime plaire, oui tout est dit Je dépense le fric, je m'en fous, je frime J'ai des plans, j'ai des filles dans toutes les villes Mauvais penchant, tour de Pise Ayrton Senna pour le titre Je mets les gaz, je cours le risque Je vais plomber l'ambiance après un tour de piste TGV, TGV, je me barre en TGV TGV, TGV, je me barre en TGV TGV, je me barre en TGV TGV, je me barre en TGV Tequila, Gin, Vodka, j'ai dis Tequila, Gin, Vodka Tequila, Gin, Vodka, j'ai dis Tequila, Gin, Vodka Je bois de la vodka comme un polak au bar Bois la vodka comme un polak au bar Bois la vodka, bois la vodka Je bois de la vodka comme un polak au bar Je me réveille dans un lit avec une espagnole à Liverpool On a fait des folies la nuit, ça vire en vie de fou J'écris de beaux poèmes, Żubrówka est belle C'est pour ma polonaise, Żubrówka, je t'aime Je me rhabille, je pars, j'ai dépensé mon cash Plus de capotes en poche Elle maquille les taches, elle a sali les draps Je décampe et je me barre vu que l'amour s'envole Chaussette sur le détecteur Putain je m'isole dans ma chambre d'hôtel Je fume un pilon quand l'attente est mortelle Grosse def, j'oublie mes erreurs Franchement, on fait des trucs de dingue Imagine toute ma team Une swimming pool party, plongeant dans des chutes de rein I'm trying to pick up a girl avec mon accent de merde, beautiful... I'm trying to pick up a girl avec mon accent de merde, beauty... Son mec est véner il appelle ses potes On est des carolos, on a plus besoin de faire nos preuves Ils vont nous payer des verres, on va pas faire d'efforts C'est des sales boloss mais y'a rien de personnel Je fais le plein, j'ai vidé l'eau plate Je reviens dans la course comme Niki Lauda Je l'épingle, bah oui j'ai l'audace Elle va monter dans les tours et kiffer l'orgasme TGV, TGV, je me barre en TGV TGV, TGV, je me barre en TGV TGV, je me barre en TGV TGV, je me barre en TGV Tequila, Gin, Vodka, j'ai dis Tequila, Gin, Vodka Tequila, Gin, Vodka, j'ai dis Tequila, Gin, Vodka Je bois de la vodka comme un polak au bar Bois la vodka comme un polak au bar Bois la vodka, bois la vodka Je bois de la vodka comme un polak au bar .
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