RetraitĂ©depuis 2011, Denis Jasek, emblĂ©matique flic des stups du commissariat de Strasbourg, dĂ©voile les coulisses de son mĂ©tier et les mĂ©andres du milieu de la drogue. Un livre d’actualitĂ©. DĂ©bats Chine Paru en septembre aux Etats-Unis, The Red Roulette » dĂ©voile les relations tortueuses entre les dirigeants chinois et les nouveaux riches » du pays, rapporte FrĂ©dĂ©ric LemaĂźtre, correspondant du Monde » Ă  PĂ©kin, dans sa chronique. PubliĂ© le 28 septembre 2021 Ă  05h00 Temps de Lecture 3 min. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Chronique. Le livre commence comme un polar. Le 5 septembre 2017, Whitney Duan, 50 ans, disparaissait des rues de PĂ©kin. Elle avait Ă©tĂ© vue pour la derniĂšre fois la veille, dans son vaste bureau situĂ© dans Genesis Pekin, un projet immobilier qu’elle et moi avions construit et qui valait plus de 2,5 milliards de dollars [2,14 milliards d’euros]. 
 Whitney avait supervisĂ© des projets immobiliers de plusieurs milliards. Et soudain, elle a disparu. Comment cela a-t-il pu se produire ? Et qui est Whitney Duan ? » Le problĂšme est que The Red Roulette la roulette rouge », Simon & Schuster, non traduit n’est pas un roman. Et que son auteur, Desmond Shum, n’est pas un Ă©crivain. Ce Chinois de 53 ans Ă©tait, jusqu’en 2013, le mari de Mme Duan et Ă©tait restĂ© le partenaire de cette femme d’affaires enlevĂ©e par la police il y a quatre ans. DisparaĂźtre », en Chine, n’a rien d’exceptionnel. Ne pas donner signe de vie l’est bien davantage. Or, depuis septembre 2017, ni sa famille ni son entourage n’ont eu la moindre nouvelle de Whitney Duan. Vivant Ă  Londres depuis l’étĂ© 2017, Desmond Shum en a donc conclu que son ex-femme avait Ă©tĂ© tuĂ©e. Paru dĂ©but septembre aux Etats-Unis, son livre offre un tĂ©moignage fascinant Ă  la fois sur l’enrichissement phĂ©nomĂ©nal de certains dirigeants communistes, mais aussi, plus largement, sur le capitalisme chinois au dĂ©but du XXIe siĂšcle. Surprise quelques jours avant sa publication, Whitney Duan est rĂ©apparue. Plus exactement, elle a donnĂ© un coup de tĂ©lĂ©phone Ă  son ex-mari, lui expliquant qu’elle avait Ă©tĂ© provisoirement libĂ©rĂ©e » et lui demandant de ne pas publier le livre. Trop tard. Le nom de Whitney Duan figurait dans un cĂ©lĂšbre article du New York Times rĂ©vĂ©lant, le 26 octobre 2012, que la famille de Wen Jiabao, premier ministre de 2003 Ă  2013, avait accumulĂ© une fortune de prĂšs de 3 milliards de dollars, notamment en acquĂ©rant secrĂštement des parts du gĂ©ant de l’assurance Ping An, peu avant que son entrĂ©e en Bourse, en 2004, fasse flamber le titre. Car Whitney Duan, Ă©levĂ©e dans une famille de petits fonctionnaires du Shandong province cĂŽtiĂšre de l’est du pays, avait su, grĂące Ă  son intelligence et Ă  son entregent, devenir la femme de confiance de l’épouse de Wen Jiabao, une gĂ©ologue Ă  qui le sens des affaires avait valu le surnom de reine du diamant ». Quand la fĂȘte se termine Whitney Duan servira de paravent Ă  la femme du premier ministre. GrĂące au soutien de celle qu’ils appellent Tante Zhang », le couple d’entrepreneurs multipliera durant une dizaine d’annĂ©es les projets immobiliers. Avec, Ă  chaque fois, la mĂȘme rĂ©partition du profit 30 % pour Tante Zhang, 70 % pour eux. Pour Desmond Shum, en Chine, les entrepreneurs ne peuvent rĂ©ussir qu’en cĂ©dant aux intĂ©rĂȘts du Parti communiste. Tant le boutiquier du coin de la rue que le gĂ©nie de la tech de la “Silicon Valley chinoise” ont besoin d’appuis dans le systĂšme. La seconde condition, c’était d’ĂȘtre capable d’exĂ©cuter l’opportunitĂ© quand elle se prĂ©sentait. Le succĂšs n’est possible que si vous possĂ©dez les deux clĂ©s. » Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Unenfant qui a survĂ©cu Ă  la fusillade au Texas livre son tĂ©moignage : "Il est entrĂ© et a dit 'Il est l'heure de mourir'" L’un des enfants prĂ©sents dans l’école d'Uvalde au moment du drame raconte ce qu'il a entendu. La RĂ©daction . PubliĂ© le 27-05-2022 Ă  15h30 - Mis Ă  jour le 27-05-2022 Ă  17h21 ©AFP. L'enfant se trouvait dans une piĂšce qui
Elle admet souffrir en rĂ©alitĂ© d'une inflammation Ă  un doigt. ElMundo Catalogne son tĂ©moignage sur ses doigts brisĂ©s par la police avait indignĂ© l'Espagne, elle fait marche arriĂšre ElMundo ESPAGNE - Elle est devenue l'une des symboles de la rĂ©pression policiĂšre en Catalogne lors du rĂ©fĂ©rendum sur l'indĂ©pendance de la rĂ©gion dimanche 1er octobre. Marta Torrecillas fait partie des 900 manifestants -selon l'exĂ©cutif sĂ©paratiste catalan- blessĂ©s par les forces de l'ordre, pour lesquels la rĂ©gion se mobilise Ă  travers des manifestations monstres mardi 3 octobre. Prise au milieu des tensions entre forces de l'ordre et Ă©lecteurs dans l'un des bureaux de vote, Marta Torrecillas a Ă©tĂ© filmĂ©e en train de se faire violemment expulser par la police. Elle tentait de protĂ©ger les personnes ĂągĂ©es et les enfants devant la force avec laquelle les autoritĂ©s Ă©vacuaient l'Institut Pau Claris dans le quartier d'Eixample de Barcelone, comme elle l'a racontĂ© quelques instants aprĂšs dans un message vocal laissĂ© Ă  la mĂšre d'un ami. "Écoute, je dĂ©fendais les personnes ĂągĂ©es et les enfants parce qu'ils les frappaient, ils m'ont attrapĂ©e, m'ont brisĂ© les doigts un par un, m'ont traĂźnĂ©e au milieu des escaliers avec les vĂȘtements relevĂ©s, m'ont touchĂ© les seins et ont ri, puis m'ont frappĂ©e. Raconte le Ă  tout le monde, ils m'ont brisĂ© les doigts un par un, j'ai vraiment mal, vraiment, vraiment mal", l'entend-on dire au tĂ©lĂ©phone, dans un enregistrement obtenu par La Vanguardia. Quelques heures aprĂšs les faits, certains mĂ©dias espagnols ont commencĂ© Ă  douter de la version de la jeune femme, en s'appuyant sur l'enregistrement vidĂ©o. "A aucun moment, on ne voit le policier toucher ses seins ou en rire. Mais le plus curieux de tout, c'est que l'agent attrape la main droite de la victime alors qu'elle apparaĂźt plus tard avec la main gauche bandĂ©e", Ă©crit par exemple El Mundo. InvitĂ©e sur le plateau de la chaĂźne espagnole TV3 le lendemain, la jeune femme de 33 ans a voulu prĂ©ciser les faits. "A ce moment-lĂ , j'ai Ă©tĂ© trĂšs blessĂ©e et je disais qu'on m'avait cassĂ© les doigts parce que c'est la premiĂšre chose qui vous arrive quand vous ĂȘtes dans cette situation", explique-t-elle avant de rĂ©vĂ©ler souffrir en rĂ©alitĂ© d'une "inflammation" Ă  l'un de ses doigts, appelĂ©e "capsulite" "vos doigts restent raides et vous ne pouvez pas les dĂ©placer. C'est ce qu'ils m'ont fait." Un tĂ©moignage qui fait quelque peu Ă©cho Ă  certaines images mensongĂšres partagĂ©es sur les rĂ©seaux sociaux Ă  l'occasion du rĂ©fĂ©rendum. Les dĂ©codeurs du Monde prennent l'exemple de plusieurs vidĂ©os ou photos chocs datant de 2012 ou 2011 manipulĂ©es et partagĂ©es pour montrer les violents affrontements du dimanche 1er octobre. Quoiqu'il en soit, les Catalans sont dans la rue mardi 3 octobre pour protester contre les "vraies" violences policiĂšres constatĂ©es lors du rĂ©fĂ©rendum. Elles ont fait prĂšs de 900 blessĂ©s, dont 33 policiers. Adosséà un mur, le policier a fait feu deux fois pour neutraliser le tueur.L'enquĂȘte sur l'attaque Ă  la prĂ©fecture de police Ă  Paris se poursuit. Objectif :
Un ancien garde de camp de concentration, jugĂ© en Allemagne pour complicitĂ© de centaines de meurtres, a prĂ©vu de tĂ©moigner ce mardi devant la cour, une dĂ©position rare lors d’un des derniers procĂšs du nazisme. Les tĂ©moignages de gardes de camps de concentration ou d’extermination sont chose rare tant les procĂšs du nazisme et de ses rouages ont Ă©tĂ© peu nombreux. PHOTO AFP - AFP L’accusĂ©, un ex-SS de 94 ans, a servi entre juin 1942 et septembre 1944 au camp de Stutthof, prĂšs de Gdansk en Pologne, oĂč quelque 65 000 personnes ont Ă©tĂ© tuĂ©es, essentiellement des femmes juives des pays baltes et de Pologne. JugĂ© en tant que mineur car ĂągĂ© de moins de 21 ans au moment des faits, son nom n’a pas Ă©tĂ© communiquĂ© par le tribunal de MĂŒnster. La presse allemande l’a identifiĂ© comme un paysagiste Ă  la retraite prĂ©nommĂ© Johann. Son tĂ©moignage est d’autant plus attendu que le vieil homme, venu en fauteuil roulant Ă  l’ouverture de son procĂšs le 6 novembre, a pleurĂ© en Ă©coutant s’exprimer Ă  la barre des victimes du camp de Stutthof. Son avocat n’a donnĂ© aucune indication sur les rĂ©ponses que son client compte apporter. Selon le quotidien Die Welt, en aoĂ»t 2017, il avait niĂ© face Ă  la police avoir su que des atrocitĂ©s Ă©taient commises, affirmant que les soldats souffraient eux aussi du manque de nourriture. Les tĂ©moignages de gardes de camps de concentration ou d’extermination sont chose rare tant les procĂšs du nazisme et de ses rouages ont Ă©tĂ© peu nombreux. Au cours des rĂ©cents procĂšs, seulement deux accusĂ©s se sont exprimĂ©s publiquement, dont un longuement l’ancien SS Oskar Gröning, surnommĂ© le comptable d’Auschwitz», qui avait demandĂ© pardon» en 2015 et reconnu sa faute morale». CondamnĂ© Ă  quatre ans de prison pour complicitĂ© dans la mort de 300 000 Juifs, il est mort en mars dernier sans avoir purgĂ© sa peine. Jugement tardif Un autre ex-SS d’Auschwitz, Reinhold Hanning, avait lors de son procĂšs en 2016 exprimĂ© sa honte» d’avoir laissĂ© cette injustice se produire et de ne rien avoir fait pour l’empĂȘcher» et avait reconnu savoir que les dĂ©portĂ©s Ă©taient abattus, gazĂ©s et brĂ»lĂ©s». Mais il se posait en spectateur et non en acteur de l’Holocauste, avait dĂ©noncĂ© Ă  l’époque le ComitĂ© international d’Auschwitz. Il n’a pas Ă©tĂ© incarcĂ©rĂ©, malgrĂ© une peine de 5 ans de dĂ©tention. D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, la justice allemande reste critiquĂ©e pour son traitement tardif et insuffisant des crimes du IIIe Reich. Elle a attendu 2011, avec le procĂšs de l’ex-garde de Sobibor John Demjanjuk, pour poursuivre toutes les anciennes sentinelles de camps d’extermination pour complicitĂ© de meurtre», quelle que soit leur conduite individuelle. Ces anciens gardes sont dĂ©sormais considĂ©rĂ©s comme les rouages d’une machine de mort». Ainsi, selon l’acte d’accusation, l’ex-SS du Stutthof avait connaissance de toutes les mĂ©thodes pour tuer» et a dĂ©libĂ©rĂ©ment approuvĂ© les meurtres de centaines de personnes» mĂȘme s’il n’y a pas participĂ© directement. Dans tous les rĂ©cents procĂšs, les accusĂ©s occupaient de telles positions subalternes. Aucun n’est allĂ© en prison grĂące Ă  des recours ou en raison de leur Ă©tat de santĂ©. Quatorze audiences sont prĂ©vues jusqu’en janvier Ă  MĂŒnster pour juger l’ex-garde de Stutthof. Elles seront limitĂ©es Ă  deux heures chacune afin de mĂ©nager le nonagĂ©naire. A l’origine, un second ex-garde SS de 93 ans aurait dĂ» comparaĂźtre mais son aptitude fait encore l’objet d’expertises.

untremblement de terre. le journaliste Valentin Gendrot s'est infiltrĂ© dans la police parisienne, pour en livrer un tĂ©moignage de l'intĂ©rieur, ce que personne n'avait jamais rĂ©ussi. Le rĂ©sultat vient d'ĂȘtre publiĂ©, c'est le livre Flic. Un rĂ©cit urgent, tant pour les victimes que pour les policiers eux-mĂȘmes.

Ce qui nous intĂ©resse, c'est d'avoir toutes les couches de la population, tous les milieux et toutes les origines. Mais nous attendons surtout que la personne ait fait une dĂ©marche volontaire, qu'elle ait rĂ©flĂ©chi Ă  son projet dans la police.» Quel est votre parcours dans la police ? Je suis entrĂ© dans la police en 1976 comme gardien de la paix, puis j'ai obtenu le concours d'officier en 1982. Je suis commandant d'unitĂ© depuis dix ans. Comme je pense que les managers doivent savoir qui est recrutĂ©, j'ai dĂ©cidĂ© de participer au recrutement, notamment aux jurys d'oraux. Comment se passe la sĂ©lection des candidats ? Le barĂšme est fixĂ© en fonction du nombre de postes Ă  pourvoir. Si on a besoin de 1000 personnes, on sĂ©lectionne les 1500 premiers aprĂšs l'Ă©crit pour qu'ils passent la deuxiĂšme phase - le sport, la langue et l'oral. Ensuite, il y a une troisiĂšme phase avec une visite mĂ©dicale et une enquĂȘte de personnalitĂ© et de moralitĂ©. A Toulouse, nous avons 700 Ă  800 inscrits pour 30% retenus Ă  la deuxiĂšme Ă©tape et 80 Ă  100 in fine. L'Ă©crit de sĂ©lection est-il une Ă©tape importante ? Il y a une tradition Ă©crite dans notre mĂ©tier. MĂȘme s'il y a des procĂ©dures-types et des masques de saisie informatique, les policiers doivent raconter ce qui s'est passĂ© et l'on ne peut pas leur rĂ©apprendre Ă  Ă©crire Ă  l'Ă©cole. Quand on corrige les dissertations du concours, on essaye de voir si le candidat structure bien son Ă©crit, arrive Ă  faire des phrases, un plan avec des idĂ©es. Or sur 50 copies que je corrige, il n'y en a que 15 environ au-dessus de la moyenne
 Comment est constituĂ© le jury d'oral ? Il est composĂ© de quatre personnes un membre du corps de commandement commandant, capitaine ou lieutenant, un brigadier-chef ou major, un attachĂ© de police administratif et un psychologue de la police nationale. Le prĂ©sident est issu du corps de conception commissaire de police ou commandant faisant office. Le psychologue prĂ©sente le candidat aux membres du jury par rapport Ă  ses tests psychotechniques son profil, l'orientation de son caractĂšre, sa personnalitĂ©, la tendance sur laquelle on va travailler par questions et recoupements pour dĂ©celer un problĂšme Ă©ventuel psycho-rigiditĂ©, paranoĂŻa, mĂ©galomanie
. Comment se dĂ©roule l'entretien avec le candidat ? L'entretien dure vingt minutes. Le jury se prĂ©sente puis demande au candidat de prĂ©senter son cursus. On reçoit des personnes de 18 Ă  30 ans, dont certains ont dĂ©jĂ  eu une vie professionnelle, familiale. La motivation est trĂšs importante pour nous. On cherche Ă  savoir pourquoi ils veulent entrer dans la police, par vocation ou parce qu'ils ont besoin d'un boulot. Ce n'est pas un mĂ©tier facile, qui rĂ©clame certaines valeurs et prĂ©dispositions, donc une motivation trĂšs importante. Dans un jury, on peut dĂ©tecter quelqu'un qui n'est pas du tout fait pour ce mĂ©tier. Dans ce cas, il suffit de lui mettre une note en dessous de 5 pour l'Ă©liminer. Cet entretien est peut-ĂȘtre un peu dĂ©courageant pour certains, mais il permet de recibler les attentes de l'administration et des candidats. On peut orienter ceux qui ne sont pas encore au niveau vers le concours d'ADS. Demandez-vous aux candidats une idĂ©e claire du mĂ©tier de policier ? Les administratifs des SGAP secrĂ©tariats gĂ©nĂ©raux pour l'administration de la police oĂč ils retirent leurs dossiers leur donnent souvent des pistes pour prĂ©parer le concours. Nous leur demandons donc s'ils se sont renseignĂ©s sur ce mĂ©tier, notamment lors de forums des mĂ©tiers ou des salons Ă©tudiants. Le plus intĂ©ressant est qu'ils aient contactĂ© des commissariats, oĂč ils sont en gĂ©nĂ©ral bien accueillis. Il y a toujours une cellule de formation dans les commissariats qui permet la mise en relation du candidat avec un jeune policier. Les candidats ont souvent une vision tronquĂ©e du mĂ©tier Ă  travers les films. Il faut dĂ©mystifier ! Pourquoi est-il nĂ©cessaire de dĂ©mystifier ? Aujourd'hui, la grande mode, c'est les experts, la police scientifique. Mais au dĂ©part, tous doivent passer par la police en tenue, faire de l'ordre public, porter assistance aux personnes. A l'Ă©cole et Ă  l'entrĂ©e dans le mĂ©tier, on met une tenue, on porte une arme. Il faut vĂ©hiculer cette image dans tous les quartiers, dans n'importe quelle condition. Ce n'est pas toujours Ă©vident pour les personnes qui viennent de milieux oĂč la police n'est pas bien vue. Avez-vous un souci de diversitĂ© dans le recrutement des candidats ? Nous n'avons pas tant un souci de diversitĂ© que de motivation. Ce qui nous intĂ©resse, c'est d'avoir toutes les couches de la population, tous les milieux et toutes les origines. Mais nous attendons surtout que la personne ait fait une dĂ©marche volontaire, qu'elle ait rĂ©flĂ©chi Ă  son projet dans la police. La fonction d'adjoint de sĂ©curitĂ© est un moyen d'entrer dans la police sans le bac. Cela nous permet de voir comment la personne va s'Ă©panouir dans la police nationale. Nous recherchons des gens qui aient une ouverture d'esprit sur les problĂšmes de la sociĂ©tĂ©, une empathie, une envie d'aider les autres et pas seulement d'appliquer la loi par la rĂ©pression. Cette motivation, ce petit quelque chose en plus, est difficile Ă  repĂ©rer. On regarde par exemple si le candidat s'est inscrit dans une association sportive, s'il a pris des responsabilitĂ©s en montant un projet
 Pourquoi recherchez-vous ce profil d'ouverture d'esprit et d'autonomie ? La police Ă©volue avec la sociĂ©tĂ©. On ne supervise pas les gens en permanence. Dans une Ă©quipe de deux ou trois policiers dans la rue, chacun doit ĂȘtre autonome, capable d'initiative. On a besoin de gens structurĂ©s psychologiquement et physiquement, capables d'apporter des rĂ©ponses par rapport Ă  des schĂ©mas qu'on leur a inculquĂ©s Ă  l'Ă©cole. ObĂ©ir ne suffit pas. On a besoin de gens affirmĂ©s, qui ont leur caractĂšre mais qui respectent aussi les ordres et la hiĂ©rarchie Ă  qui ils doivent rendre compte. De plus en plus de candidats ont un niveau d'Ă©tudes Ă©levĂ©. Cela pose-t-il des problĂšmes ? Oui. Certains arrivent avec un niveau maĂźtrise et ils auraient pu passer le concoursde commissaire. J'ai mĂȘme eu un chef d'entreprise ! On se dit qu'ils sont en dĂ©calage par rapport au mĂ©tier et qu'ils auront du mal Ă  se fondre dans cette vie en collectivitĂ©. Les femmes sont-elles nombreuses Ă  se prĂ©senter au concours ? Oui, 30 Ă  40% en moyenne, aussi bien aux concours d'ADS et gardien, qu'officier et commissaire. Le barĂšme des tests sportifs parcours police et test Luc LĂ©ger de vitesse et de rythme a Ă©tĂ© remontĂ© pour les filles car on avait tendance Ă  avoir des filles pas assez grandes. On a souvent des problĂšmes avec les femmes qui sont dĂ©jĂ  mĂšres de famille car elles doivent avoir intĂ©grer l'obligation de mobilitĂ©. Il faut savoir que 98% des reçus vont partir en rĂ©gion parisienne, Ă  part peut-ĂȘtre les tous premiers de l'Ă©cole. Pour les femmes, il est prĂ©fĂ©rable qu'elles soient cĂ©libataires ou qu'elles aient fait un choix conscient. publiĂ©le 24 aoĂ»t 2022 Ă  10h01. Le complice prĂ©sumĂ© de l’assassinat d’un rĂ©fugiĂ© afghan le 14 aoĂ»t dans le quartier Europe Ă  Colmar (Haut-Rhin) a Ă  son tour Ă©tĂ© interpellĂ© dans la
QuatriĂšme de couvertureÀ Evry puis de la Police Judiciaire d'Ajaccio Ă  Versailles, de Bordeaux Ă  Alger, l'apprentissage des bases de l'enquĂȘte aux affaires de terrorisme, braquages et assassinats jusqu'aux stups et son univers impitoyable, le Commandant de Police Cassiau-Haurie, toujours en activitĂ© a Ă©galement exercĂ© pour le compte du GIR de SARKO et la ZSP de Valls avant de diriger plusieurs brigades bordelaises auto, violences, crime et Ă©conomie Officier propose son tĂ©moignage, reflĂ©tant la lente agonie d'un certain esprit de conquĂȘte, d'un volontarisme et d'une ardeur aux antipodes de ce que ressemble et rassemble les enquĂȘtes policiĂšres actuelles de la SĂ©curitĂ© carriĂšre irrĂ©prochable et riche, saluĂ©e par tous ses Directeurs s'est fracassĂ©e contre le mur de l'indignitĂ© ces trois derniĂšres annĂ©es, fruit d'un mariage de la bĂȘtise et de la jalousie crasse d'une hiĂ©rarchie dĂ©testable. Elle le conduira jusqu'Ă  une placardisation en bonne et due forme, rĂ©sumĂ© caricatural de ce qu'il dĂ©nonce sur le territoire en gĂ©nĂ©ral et sur Bordeaux en d'alerte, il dĂ©crit et informe de l'Ă©volution nĂ©faste d'une police d'investigation sur le recul et de plus en plus inefficace face Ă  la moyenne dĂ©linquance l'administration, par l'intermĂ©diaire de ses reprĂ©sentants, met au rebut les fonctionnaires de plus de 50 ans qui travaillent sans compter, s'investissent dans leurs missions et rĂ©ussissent, il convient d'en parler et de le dĂ©noncer, particuliĂšrement par ces temps troubles et cogne, fort, trĂšs fort mĂȘme et c'est lĂ©gitime. L'obligation de rĂ©serve est bafouĂ©e, mais l'affranchir est justifiĂ© et argumentĂ©, exemples concrets Ă  l' vous comprendrez la vraie police de l'intĂ©rieur. Pas celle qui rĂ©clame des hausses de salaire, des moyens ou du pouvoir, mais celle qui recherche du sens.
Jeudi vers minuit, un homme ĂągĂ© de 20 ans a pris une balle dans la tĂȘte, tuĂ© par la police, Ă  VĂ©nissieux (RhĂŽne). Il Ă©tait passager d’un vĂ©hicule dont le conducteur, 26 ans, a Actuellement, la Police recherche des suspects Ă  la suite de la publication d’une vidĂ©o du soi-disant tĂ©moignage d’une inconnue concernant cette Force, et qui avait Ă©tĂ© diffusĂ©e Ă  travers les rĂ©seaux sociaux. En rĂ©alitĂ©, l’on soupçonne qu’il s’agissait d’un faux-tĂ©moignage sur les propos de cette mĂšre de famille que nous voyons sur la photo. Elle aurait dĂ©noncĂ© les agissements supposĂ©s de quelques agents de police envers sa propre fille. D’aprĂšs son affirmation, sa fille Ă©tait sur le point d’accoucher. Trois inconnus avaient alors volontairement conduite la concernĂ©e Ă  la maternitĂ©. Mais en cours de chemin, la Police aurait, selon le mĂȘme tĂ©moignage, arrĂȘtĂ© les trois accompagnateurs de sa fille. Par la suite, les Forces de l’ordre les auraient embarquĂ©s immĂ©diatement vers un poste de police pour les y placer en garde Ă  vue. Et qu’on ne leur rendra la libertĂ© sous peine d’un paiement d’une caution de 20 000 la vĂ©ritĂ© a finalement Ă©clatĂ© Ă  la face de la Police dĂšs lors qu’elle a ouvert une enquĂȘte sur cette affaire. En effet, l’époux de la parturiente a catĂ©goriquement niĂ© connaĂźtre cette inconnue, c’est-Ă -dire celle qui a tĂ©moignĂ© sur cette vidĂ©o. De plus, cette derniĂšre est loin d’ĂȘtre sa belle-mĂšre. Mais il y a pire. Les faits relatĂ©s par cette inconnue sur cette vidĂ©o n’ont jamais existĂ©. Et comme ultime preuve de la supercherie et le mensonge de la femme mise en cause, la Police argue que personne n’a Ă©tĂ© placĂ© en dĂ©tention policiĂšre au commissariat du 7e Arrondissement. Les images montrant la cellule de dĂ©tention ou violon » pratiquement vide, et qui ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es au moment des faits par les camĂ©ras de surveillance dudit commissariat, l’attestent. Face Ă  cette situation, les hauts responsables au sein de la Police ont promis qu’ils ne croiseront pas les bras. Tous ceux qui ont Ă©tĂ© impliquĂ©s, de loin ou de prĂšs, dans la diffusion de ce canular destinĂ© Ă  blĂąmer uniquement la Police sont actuellement recherchĂ©s. Elle reconnaĂźt que les citoyens ont le droit de dĂ©noncer tout ce qu’on peut considĂ©rer comme de l’arbitraire de la part des Forces de l’ordre. Mais de lĂ  Ă  les discrĂ©diter ouvertement pour le plaisir de diffamer, cela est intolĂ©rable, selon les hauts responsables au sein de cette Force. Franck R
Livrerson tĂ©moignage Ă  la police . Solution: DÉPOSER. Les autres questions que vous pouvez trouver ici CodyCross Arts culinaires Groupe 122 Grille 5 Solution et RĂ©ponse.
Suite aux Ă©vĂ©nements qui ont eu lieu vendredi soir Ă  Trappes, le collectif contre l’islamophobie en France CCIF publie le tĂ©moignage de la jeune mĂšre de famille, arrĂȘtĂ©e ainsi que son Ă©poux, aprĂšs un contrĂŽle de police qui a mal tournĂ©. Je fais appel Ă  vous car j’ai subi une injustice de la part de la police. Ils ont voulu nous contrĂŽler Ă  cause de mon voile intĂ©gral. Comme d’habitude, j’ai coopĂ©rĂ©. J’allais lever mon voile lorsque j’ai vu l’un des agents pousser violemment ma mĂšre. J’ai dit aux autres agents de regarder ce qui se passait derriĂšre, que ça n’allait pas se passer comme ça, qu’il ne fallait pas toucher Ă  ma mĂšre qui n’a rien a voir avec le contrĂŽle, sachant que elle Ă©tait devant nous. L’un des agents s’est alors Ă©nervĂ© sur mon mari, juste parce qu’il a dit, Ă  propos de ma maman Ne la touchez pas ! Pourquoi vous la touchez alors qu’elle n’a rien Ă  voir avec le contrĂŽle ? » Le policier a alors dit a mon mari, de maniĂšre trĂšs agressive et en bombant le torse Tu vas faire quoi ? ». Je me suis interposĂ©e entre eux pour ne pas que ça dĂ©gĂ©nĂšre. Une fois que le policier en a fini avec ma mĂšre, il vient vers moi et fait de grands gestes devant mon visage en me tenant un langage agressif. ApeurĂ©e, je lui ai demandĂ© de se taire. Il m’a alors attrapĂ©e par le voile au niveau de la tĂȘte et traĂźnĂ©e avec une force monstrueuse, avant de me plaquer sur le capot de la voiture en me criant C’est Ă  moi que tu parles ? C’est Ă  moi que tu parles, hein ? » Je me suis retournĂ©e, puis j’ai aperçu mon mari maintenu Ă  terre par deux policiers qui le menottaient. Une fois dans la voiture, ils nous criaient dessus comme si on Ă©tait des chiens. Ils menaçaient mon mari en disant Qu’est-ce que tu vas faire maintenant p’tite tafiole, hein ? , tout cela avec les poings serrĂ©s et en donnant des coups, dans la voiture. Une fois arrivĂ©s au commissariat, les agents m’insultent de fantĂŽme. Je ne cesse pas de demander Ă  Dieu de l’aide contre cette violence. Le CCIF, qui dĂ©nonce la violence » et les provocations policiĂšres », annonce que l’époux de la jeune femme doit ĂȘtre jugĂ© en comparution immĂ©diate demain matin ». Confirmant une information que nous avons pu recueillir quelques heures aprĂšs les Ă©chauffourĂ©es, le CCIF prĂ©cise que plusieurs habitants de Trappes, qui s’étaient rendues au commissariat pour tenter d’apaiser la situation ont Ă©tĂ© congĂ©diĂ©es sans mĂ©nagement ». Et d’appeler la police nationale Ă  remplir sa mission de protection de la population plutĂŽt de l’agresser ». Appel Ă  tĂ©moins Le CCIF lance un appel Ă  tĂ©moins. Nous lançons Ă©galement un appel Ă  tĂ©moins Si vous avez assistĂ© aux scĂšnes de violences ou si vous avez des informations vidĂ©os, tĂ©moignages, 
 qui permettront de mettre en lumiĂšre les responsabilitĂ©s dans cette affaire, merci de nous Ă©crire Ă  [email protected] afin que les agresseurs ne restent pas impunis et que la victime ne se retrouve pas, comme c’est le cas dans plusieurs autres affaires oĂč la responsabilitĂ© de la police est en cause, sur le banc des accusĂ©s. » Eneffet, nous avons prĂ©parĂ© les solutions de Word Lanes Livrer son tĂ©moignage Ă  la police. Ce jeu est dĂ©veloppĂ© par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant
PubliĂ© le 16/03/2021 Ă  0001, Mis Ă  jour le 16/03/2021 Ă  1501 CitĂ©es par le quotidien Le Monde, huit femmes - dont certaines ont Ă©tĂ© entendues par la police - dĂ©taillent des faits pouvant s’apparenter Ă  des viols, des agressions sexuelles ou du harcĂšlement. Ces tĂ©moignages seraient aujourd’hui d’un mois aprĂšs les accusations et la plainte dĂ©posĂ©e par Florence Porcel, qui fait l’objet d’une enquĂȘte prĂ©liminaire pour viols» confiĂ©e Ă  la brigade de rĂ©pression de la dĂ©linquance contre la personne BRDP de la Police judiciaire parisienne, Patrick Poivre d’Arvor est la cible de nouvelles rĂ©vĂ©lations. Dans une enquĂȘte publiĂ©e par le quotidien Le Monde, une dizaine de tĂ©moignages dĂ©crivent un systĂšme industrialisĂ©, qu’il faut raconter» en Ă©voquant les agissements de l’ancien prĂ©sentateur du JT de 20 Heures Ă  l’égard des journaliste de TF1Tout d’abord, une ancienne journaliste de la rĂ©daction de TF1, HĂ©lĂšne Devynck, ĂągĂ©e de 54 ans aujourd’hui, qui fut l’une des assistantes de Patrick Poivre d’Arvor en 1991-1993», explique C’était impensable de ne pas passer Ă  la casserole, mais tout autant impossible de le dire. Moi, je ne l’ai pas dit, je savais bien que si je disais quelque chose, il y avait un tel dĂ©sĂ©quilibre que je serais la pute et lui, le sĂ©ducteur».À lire aussiEnquĂȘte ouverte contre Patrick Poivre d’Arvor, accusĂ© de violsConvoquĂ©e le mercredi 10 mars par les enquĂȘteurs, elle est allĂ©e au rendez-vous en ayant choisi de parler. Comme elle, plusieurs femmes se seraient rendues chez les policiers, trois auraient dĂ©crit des relations pouvant s’apparenter Ă  des viols tandis que d’autres ont citĂ© des faits potentiellement qualifiĂ©s d’agressions sexuelles ou de harcĂšlement. Il s’est levĂ© brusquement, m’a enlacĂ©e par surprise, m’a embrassĂ©e, m’a renversĂ©e sur sa grande table, a glissĂ© une main dans mon soutien-gorge puis l’autre dans ma culotte... » L’une d’elles, citĂ©e par le quotidien, dĂ©taille une scĂšne vĂ©cue avec Patrick Poivre d’Arvor dans les locaux de TF1 aprĂšs le journal tĂ©lĂ©visĂ©, qui se serait produite en 2003 alors qu’elle Ă©tait jeune journaliste Il s’est levĂ© brusquement, m’a enlacĂ©e par surprise, m’a embrassĂ©e, m’a renversĂ©e sur sa grande table, a glissĂ© une main dans mon soutien-gorge puis l’autre dans ma culotte avant de l’introduire dans mon sexe pendant de longues minutes. J’ai essayĂ© de me dĂ©battre doucement et de me dĂ©gager en murmurant que je ne voulais pas, que j’avais un petit ami, mais j’étais pĂ©trifiĂ©e et je n’ai pas osĂ© le repousser vigoureusement».À VOIR AUSSI - Non Stop People - Patrick Poivre d’Arvor ses propos sur la drague de son Ă©poque font rĂ©agir TwitterDans le bureauAutre rĂ©cit. Celui d’une ancienne Ă©tudiante de l’universitĂ© Paris-Dauphine, qui se souviendrait d’une visite dans le bureau de PPDA Ă  la mĂȘme Ă©poque, en 2003, aprĂšs que le journaliste l’a invitĂ©e Ă  suivre le JT D’un coup, il me saute dessus, et plante sa langue tout au fond de ma bouche. Il dĂ©grafe aussi mon soutien-gorge. Je lui demande au moins trois ou quatre fois d’arrĂȘter, je lui dis que je ne veux pas, que je n’ai pas envie». Une fois rentrĂ©e chez elle, elle raconte l’histoire Ă  ses amis mais pas Ă  ses parents. J’ai vraiment pensĂ© qu’il faisait ça tous les soirs, que c’était sa routine. À l’époque, je pensais que ce n’était pas si grave.»Les tĂ©moignages recueillis par Le Monde semblent aujourd’hui prescrits dans leur quasi-totalitĂ©. Selon le quotidien, l’avocate de PPDA a Ă©tĂ© sollicitĂ©e mais n’a pas rĂ©pondu prĂ©cisĂ©ment aux questions posĂ©es, signalant toutefois que son client dĂ©plore des tĂ©moignages Ă  charge qui voudraient faire de [lui] un homme au comportement pressant Ă  l’égard des femmes, voire irrespectueux de leur consentement. M. Poivre d’Arvor s’étonne et s’indigne de ces mĂ©thodes».À lire aussiPatrick Poivre d’Arvor sort de son silence dans Quotidien» et dĂ©nonce une campagne ignoble»Le 4 mars, invitĂ© de l’émission Quotidien» sur TMC, Patrick Poivre d’Arvor avait niĂ© en bloc les accusations de viols de Florence Porcel, rĂ©vĂ©lĂ©es par Le Parisien . Comme dans son tout premier communiquĂ©, PPDA avait dĂ©noncĂ© la campagne ignoble» dont il s’estime victime. Il avait confirmĂ© porter plainte pour diffamation contre l’écrivaine qui l’a attaquĂ© en justice mais aussi contre Le Parisienqui avait rĂ©vĂ©lĂ© l’affaire.» Suivez toutes les infos de TV Magazine sur Facebook et Twitter.
NouvellejournĂ©e de tĂ©moignage au tribunal de Chester, oĂč le procĂšs de Benjamin Mendy, accusĂ© de huit viols, une tentative de viol et une agression sexuelle,

Bernard Petit, l'ex-patron de la PJ se raconte dans un livre entre polar et tĂ©moignage 000828 L'ancien patron de la Police judiciaire parisienne, Bernard Petit, passe Ă  table. Il publie Secrets de flic. Pendant 40 ans, il s'est battu contre le crime organisĂ©, mais en fĂ©vrier 2015 il est tombĂ© pour une affaire de violation du secret de l'instruction. Accusation qu'il dĂ©ment. Le parquet vient de demander son renvoi devant le tribunal correctionnel. Ce livre, Bernard Petit l'a Ă©crit d’abord pour "laver son honneur", mais aussi parce qu'il avait "besoin de raconter". Au fil des pages, l'ancien flic n'Ă©pargne personne, ni Ă  gauche ni Ă  droite, et cible Ă©galement les rĂ©seaux sarkozystes. Toutefois, hors de question de parler d'un livre oĂč il balance. "C'est un livre, si on prend le temps de le lire, qui est sans amertume et sans vengeance. C'est un livre qui raconte la vie d'un flic". Entre polar et tĂ©moignage, Bernard Petit raconte d'abord son ascension dans la police, lui qui au dĂ©part ne souhaitait pas ĂȘtre flic et qui a fini par gravir tous les Ă©chelons, jusqu'Ă  devenir patron du 36 quai des OrfĂšvres. Je ne crois pas ĂȘtre un homme de rĂ©seaux Bernard Petit Dans les portraits qui lui sont consacrĂ©s, il est dĂ©peint comme "un tueur, un homme de rĂ©seaux, voire mĂȘme franc-maçon". Des qualificatifs qui n'illustrent pas la rĂ©alitĂ© pour Bernard Petit. "Beaucoup de choses ont Ă©tĂ© dites et beaucoup de choses fausses. Je ne crois pas ĂȘtre un homme de rĂ©seaux. Ça me parait une Ă©vidence. La preuve c'est que quand il m'est arrivĂ© ce qui m'est arrivĂ© j'Ă©tais tout seul et je n'ai pas eu de rĂ©seau qui est venu Ă  mon secours", explique-t-il sur RTL. L’actualitĂ© par la rĂ©daction de RTL dans votre boĂźte mail. GrĂące Ă  votre compte RTL abonnez-vous Ă  la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualitĂ© au quotidien S’abonner Ă  la Newsletter RTL Info

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